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stence — le degré d’être — se mesure au pouvoir d’
incarner
sa vérité, le mal du siècle c’est l’impuissance. La proie de désirs d
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re sont celles où la forme d’un mythe affleure, s’
incarne
et devient visible. Ce sont les périodes de crise. Or toute crise est
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sommes à l’Occident. » L’Occident, c’est l’Esprit
incarné
. L’incarnation entraîne des « conditions ». C’est la vision du travai
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s sont les plus grands Occidentaux ? Ceux qui ont
incarné
le choix le plus audacieux. Pascal choisit une fois pour toutes, dans
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RF la phrase suivante : « La religion de l’esprit
incarné
est celle qui honore l’esprit en tant qu’il veut porter l’empreinte d
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si l’on a le droit d’opposer esprit pur à esprit
incarné
dans des termes tels qu’esprit incarné devienne synonyme de trahison
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r à esprit incarné dans des termes tels qu’esprit
incarné
devienne synonyme de trahison intéressée ; 4° si M. Benda conçoit que
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nt en unanimité contre le Christ, contre l’esprit
incarné
en Personne ; 5° si le clerc qui s’en lave les mains ne risque pas de
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it crux. x. Rougemont Denis de, « Sur l’esprit
incarné
», La Nouvelle Revue française, Paris, février 1936, p. 304-305.