1 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
1 ’auteur, sa patiente intrépidité, la « volubilité infinie  » de l’esprit que suppose son entreprise ? Car l’étude des poètes her
2 le pouvoir magique du langage, et dans la liberté infinie de l’homme, capable de refaire avec ses mains le Paradis perdu et les
2 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
3 inaugure une ère nouvelle, et ainsi de suite à l’ infini . Quant au temps de notre humanité : chaque Jour de Brahma se divise e
4 mps ne cessaient de s’éloigner dans le vague de l’ infini . Or le Credo prend soin de préciser la date de la Passion unique : « 
5 et de systole de l’Univers, qui se répéterait à l’ infini  : nous serions dans une phase d’expansion. La cosmologie des hindous
6 Renaissance et les siècles suivants découvrent l’ infini et le réintroduisent dans l’imagination et la spéculation, puis dans
7 d’années-lumière, dans cette durée qui va vers l’ infini , et dans une société où la technique, les « lois économiques », la pu
3 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
8 r centrale pour l’Occident, il doit en résulter d’ infinies conséquences dans tous les domaines du réel, du spirituel au politiqu
9 s’élance, reliant un sommet au monde des Lumières infinies . À son entrée, se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi céleste, jeun
10 quotidien banal, pris sur le vif : plutôt qu’une infinie bibliographie rameutée à l’appui de mes dires, cette notation plaisan
11 ement final dans l’unisson, l’harmonie d’un chœur infini  ; — à la régressive extinction des différences éphémères, leur mort e
12 résultats actuels et historiques sont ambigus à l’ infini , pour nos mesures. Les peuples sont dans l’ignorance malheureuse des