1
n assiste à un réveil, explosion de révolte ou de
joie
, tellement incompatible avec les « conditions » de la vie que mort s’
2
u’établissent la mort, la peur, la maladie. Et la
joie
, ce point commun, « ce point qui est au-delà de la vie ». Le communis
3
e psychique ». Et lui-même gémit, avec une sombre
joie
: « Sort misérable, qui ne me permet rien que d’extrême ». Jacob Boeh
4
sse de la catastrophe et la secrète, l’inavouable
joie
de la libération. Impossible d’isoler ces deux composantes dans l’ave
5
Dès la seconde page, c’est à pousser des cris de
joie
. Les enfants comprendront-ils ? Dans la mesure seulement où le plan d
6
r l’histoire, de M. Souriau sur la mystique de la
joie
, les esquisses phénoménologiques du Dr Minkowski, les approximations
7
ute l’œuvre de Claudel se soulève à l’appel de la
Joie
. Le monde qu’interprète l’Art poétique ne connaît pas Descartes le di
8
une bonne espièglerie, pour vous laisser à votre
joie
ou à vos larmes. Il y a quelque chose de « glorieux » — au sens baroq
9
ebâtie. Les Cavaliers, « appelés à faire vivre la
joie
dans le pays du fer, à l’époque du fer » nous ont appris à leur façon
10
e qu’il réfute, dénonce et détruit, c’est pour la
joie
du viol intellectuel. Comme Don Juan l’image de la Mère, Nietzsche po
11
monde. C’est au point de fureur dionysiaque où la
joie
de détruire devient douleur, et dans l’angoisse d’une puissance anéan
12
son plaisir, la source de sa jouissance. Dans la
joie
de la possession, la souffrance du désir est pour un instant apaisée…
13
plaisir sa propre nature essentielle, qui est la
joie
. Toute jouissance, tout plaisir est une expérience du divin… Mais l’a