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t ou jacobin (comme les marxistes), ni victime ni
juge
d’une bourgeoisie à laquelle il échappe entièrement et de toute façon
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ud. C’est la pureté démesurée de Rimbaud qui nous
juge
, et la grandeur humaine de Goethe. Et qui voudrait les opposer ? Que
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nt l’homme ? N’est-elle pas bien plutôt ce qui le
juge
et en même temps le sauve dans ses limites, ici et maintenant ? C’est
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Loi qui nous condamne quoi que nous fassions, ce
Juge
impitoyable, cette instance suprême qu’on n’atteint jamais, ces avoca
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Koyré sur Franck et Weigel. Quant à Luther, il le
juge
d’après un résumé, confectionné par Gonzague Truc, du pamphlet de Mar
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re qu’il a même un public passionné. Mais si l’on
juge
de la façon dont il est lu par la façon dont il est trop souvent cité
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moments de pureté. Il faut penser à eux quand on
juge
« le monde »… Nous mangeons les premiers légumes du jardin : salades
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anticipe sur ce risque ? Ou pour déconcerter ses
juges
, qu’il leur rend par avance toutes ses armes ? Mais ce serait un mauv
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e admiration, mais se refuse à Kierkegaard, qu’il
juge
« trop long ». Marquant ainsi bien franchement ses limites, et les mo
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e et non le salut ; ce que l’on vit et comment on
juge
, non la connaissance pure, ni le mystère. Réduisait-il la religion à
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st pas le premier venu. C’est usurper la place du
Juge
, ou mêler vanités et salut. Si Gide a refusé totalement quelque chose
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ent, et il y tourne même à l’obsession si l’on en
juge
par notre siècle, tandis qu’il a toujours manqué aux Orientaux avant
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la personne, car la personne se fonde dans ce qui
juge
le temps, le détruit et le renouvelle. Et, si l’on rêve un monde coup
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oires. Comme le moi. — La vue juste distingue et
juge
, mais ne peut pas nier le trouble. Dans ce moi peu ou point différenc