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ique, qui est vivante. Ainsi tous parlent un même
langage
, qu’ils l’inscrivent sur le papier ou dans la terre. Un tel sens de l
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ir ne signifie pas rationaliste, comme le veut le
langage
confus de ceux qui se croient cartésiens. Aussi a-t-on souvent tendan
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hose est aluminale, telle autre saturnienne. » Ce
langage
en effet renvoie à l’origine cosmique du mal, où se trouve aussi le r
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de lire l’essai de René Daumal sur les Limites du
langage
philosophique. C’est une recherche des conditions d’activité de l’ima
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action réelle résident dans la restauration d’un
langage
efficace. C’est dire l’intérêt, au sens fort, de l’apport des poètes
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e à son compte cette erreur de vocabulaire, ou en
langage
théologique, ce blasphème ; 3° si l’incarnation de l’Esprit, c’est-à-
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t son admirateur enthousiaste. On dirait, dans le
langage
d’aujourd’hui : c’est le fait de réaliser la vérité que l’on connaît
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l’on vient, où l’on va : tel est le sens.) Car le
langage
, parmi d’autres fonctions, a celle-là de permettre à nos pensées de c
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ics s’en mêlent, et viennent « mettre au pas » le
langage
— ou saurons-nous à temps nous débrouiller et nous entendre librement
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parole ! Mais l’usure des mots les édente, notre
langage
est débrayé. Comment rétablir le contact ? Claudel n’écrira pas : je
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ourrait proposer une explication parallèle par le
langage
, autre problème fondamental pour un enfant. Les deux hypothèses rende
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ar une double croyance dans le pouvoir magique du
langage
, et dans la liberté infinie de l’homme, capable de refaire avec ses m
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et le spirituel libérateur. S’il est vrai que le
langage
courant confond sans l’ombre d’un scrupule la personne et tout ce qu’
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oi naturel et le vrai moi, c’est-à-dire selon les
langages
, entre les phénomènes et le noumène, l’individu et la personne, l’âme
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e masochisme religieux, ou haine de soi. Dans son
langage
dramatique, saint Paul parle parfois de la haine de soi-même, formule