1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 d’autre, peut-être, que le triomphe de l’élément libérateur du désespoir. La longue peine de celui « qui toujours s’est efforcé »
2 estera comme le livre sacré. Que cette discipline libératrice comporte pour Rimbaud le silence, alors qu’elle propose à Goethe, com
2 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
3 humour du destin, une vraie poésie de l’Histoire, libératrice et excitante pour l’esprit. À peine l’a-t-on fini qu’on se jette sur
3 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alice au pays des merveilles, par Lewis Carroll (août 1938)
4 ar essence un récit cocasse et en quelque manière libérateur , on conçoit que les meilleurs sujets de contes sont les plus abstrait
4 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
5 dement unique et suffisant de la seule orthodoxie libératrice . ⁂ Si, malgré son génie du scrupule, Gide s’expose parfois au reproch
5 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
6 s qu’elles sont nées en même temps d’un même acte libérateur  ? Mais, d’abord, est-il sûr que la croyance moderne à l’Histoire comm
7 ion et de toute espèce de recours au transcendant libérateur . Engendrer l’utopie est un mouvement de l’âme, sans doute inséparable
6 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
8 nnisant (et tyrannisé par la Loi) et le spirituel libérateur . S’il est vrai que le langage courant confond sans l’ombre d’un scrup