1  : je ne trouve aucun écrivain plus naturellement libéré de l’idéologie bourgeoise, que Ramuz. Sa conception tragique du sort

2 u profit d’une expression « utile », renaît comme libérée intérieurement au « jour nouveau ». L’âme parvient à cette « connaiss

3 de la loi (de la morale). Et c’est la foi qui en libère , non pas cette « générosité » malgré tout équivoque. La foi révèle un

4 ses raisons des capitalistes, ou comme il dit : «  libérer de la dialectique des propriétaires les valeurs de propriété personne

5 ’imaginent : ceux qui voudraient « partir », se «  libérer  » et qui reculent pourtant devant le saut. Peut-être leur suffirait-i

6 e châtiment, où le démon découvre que son œuvre a libéré les hommes de leur bonheur, et la vie de l’obsession de vivre. Cette

7 se de Noirmoutier, puis à l’île d’Yeu. Il ne sera libéré qu’après cinq ans de captivité, durant lesquels il subira les manifes

8 ience secrète — comme dans le rêve — et peut s’en libérer dès que l’absurdité devient intolérable ou menaçante. D’ailleurs, on

9 ’il se pose au monde christianisé, et à lui seul, libéré de l’empire des mythes, n’a cessé d’occuper sa pensée. Et j’ignore si

10 rsonne entre Dieu qui appelle et l’âme qui répond libère celle-ci des décrets uniformes de la morale et de la tradition sacrée

11 même victoire sur les étoiles et sur la mort, qui libère et suscite la personne. Ce n’est pas un hasard si le premier auteur d

12 elle est cette part de la personne dès maintenant libérée du monde, où elle vit encore en exil, mais « héritière du Royaume »,

13 ar son union avec le corps. Elle doit tendre à se libérer du phénomène individuel au lieu que l’âme chrétienne doit le transfig

14 impersonnelle par excellence, et s’épuise à s’en libérer par le changement de l’excitation, par le défi perpétuel aux attachem

15 c’est lui seul, lorsqu’il est satisfait, qui peut libérer l’esprit du désir… Ce n’est pas le plaisir mais le désir qui lie l’ho