1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 dont il ne fut sauvé que par l’intervention d’un médecin « alchimiste ». Retenons ceci : au seuil de l’initiation, chez Goethe
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
2 storiens font la grimace, mais les lettrés et les médecins de la jeune école seront comblés. Gundolf décrit l’œuvre de Paracelse
3 ue cérébrale et matérialiste. Il s’opposait32 aux médecins galénistes qui voyaient l’homme sous l’aspect d’un concept. Il se fût
4 l’aspect d’un concept. Il se fût opposé aussi aux médecins de la Renaissance, à Léonard, à Cardan, à Vésale, aux techniciens de
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
5 dique le choix même d’un pseudonyme. L’alchimiste médecin Paracelse, en réalité, se nommait Theophilus Bombast ». Or Paracelse
6 t pas un pseudonyme, mais un des trois prénoms du médecin , qui se nommait, « en réalité », Théophraste Paracelse Bombaste de Ho
4 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
7 teur. Le second bouquin, c’est l’œuvre d’un vieux médecin tout plein de verve et de gaillarde érudition, comme il s’en trouve u