1
dont il ne fut sauvé que par l’intervention d’un
médecin
« alchimiste ». Retenons ceci : au seuil de l’initiation, chez Goethe
2
storiens font la grimace, mais les lettrés et les
médecins
de la jeune école seront comblés. Gundolf décrit l’œuvre de Paracelse
3
ue cérébrale et matérialiste. Il s’opposait32 aux
médecins
galénistes qui voyaient l’homme sous l’aspect d’un concept. Il se fût
4
l’aspect d’un concept. Il se fût opposé aussi aux
médecins
de la Renaissance, à Léonard, à Cardan, à Vésale, aux techniciens de
5
dique le choix même d’un pseudonyme. L’alchimiste
médecin
Paracelse, en réalité, se nommait Theophilus Bombast ». Or Paracelse
6
t pas un pseudonyme, mais un des trois prénoms du
médecin
, qui se nommait, « en réalité », Théophraste Paracelse Bombaste de Ho
7
teur. Le second bouquin, c’est l’œuvre d’un vieux
médecin
tout plein de verve et de gaillarde érudition, comme il s’en trouve u