1
, et meurt là où vit la foi. Au bien vulgaire des
moralistes
, Jouhandeau oppose le mal ; à celui-ci le Bien ; d’où naissent le dés
2
ement dans la coutume. L’immoraliste est comme le
moraliste
un ennemi vigilant de l’instinct : car s’il le glorifie c’est par esp
3
, sans lequel point d’amour du prochain. Tous les
moralistes
du monde s’accordent avec les spirituels dans leur condamnation de l’
4
de cette condamnation ne sont pas les mêmes : les
moralistes
jugent au nom de la société, les spirituels au nom de l’amour. Nous n