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s que dans une spiritualité facilement épurée, le
mysticisme
de celui qui, tout enfant, édifiait un autel à la Nature, trouvait so
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bolique : les premiers contacts de Goethe avec le
mysticisme
précédèrent de très peu une grave maladie, dont il ne fut sauvé que p
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histoire ». Nous avons affaire ici à un véritable
mysticisme
de la réussite, à un fatalisme, à un pragmatisme historique dont le f
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e n’exige rien de moins qu’un acte de foi. Un tel
mysticisme
a-t-il en France la moindre chance de succès ? Où est sa tradition vi
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nel dans ce temps. Cette définition condamne tout
mysticisme
qui ne serait, comme le veut M. Chuzeville, que la « recherche des mo
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a eu le tort de vouloir y réduire l’évolution du
mysticisme
allemand, qui justement lui inflige le démenti le plus formel. Car si
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romantique considéré comme une sécularisation du
mysticisme
. Il m’a semblé que cette perspective spirituelle était la seule que d
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éisme, les figures angéliques du vrai moi dans le
mysticisme
soufi et même la « rencontre aurorale » de l’âme et de sa Dâenâ au po