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e, leurs mystiques et leurs créations politiques (
nationalisme
, SDN, etc.), condamnation de l’individu, de la « pensée » bourgeoise
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le en soi (pas la morale en vertu d’un dogme), le
nationalisme
, l’ironie, le scepticisme, le pompiérisme, — mais ils savent que cela
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u Rhône, la marche en montagne, le romantisme, le
nationalisme
, l’européanisme et la révolution. (Sur la confusion moderne entre le
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triotisme « chose motivée et avantageuse », et le
nationalisme
artificiel mais régnant qui fait de la chose publique la chose désava
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rrêt d’illusoire devenu réel que font les actuels
nationalismes
, ayant pour effet qu’au lieu d’être avantageuse, la chose publique em
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zeville ajoute pour sa part l’étatisme absolu, le
nationalisme
, « l’individualisme effréné », le racisme et le marxisme. Voilà pourq
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e décidément nos universitaires. Elle relève d’un
nationalisme
de manuels, pour ne pas dire, avec E. R. Curtius, d’une « propagande
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Hegel, d’où sont effectivement sortis un certain
nationalisme
et la doctrine du jeune Marx, on ne voit pas du tout le passage de Lu
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D’abord « impérialisme » : c’est sans nul doute «
nationalisme
» que voulait dire l’inspecteur (à moins qu’il n’ait une conception c
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il faudrait. Précisons, cela en vaut la peine. Le
nationalisme
existe parce qu’on l’enseigne ; c’est une mystique, un idéal abstrait
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e, et qui connaît le modèle idéal ? Le malfaisant
nationalisme
n’est rien d’autre qu’une rationalisation mensongère du sentiment pat
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le jazz, que l’Afrique noire se précipite dans le
nationalisme
, les jeux parlementaires, et l’exploitation par elle-même de ses ress