1 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
1 ère en effet l’homme moderne, l’homme sans mesure naturelle  : s’il ne retrouve pas de loi interne et de tension par le péché, il
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
2 elle évoque peu à peu on ne sait quelle puissance naturelle , dans sa fascinante et grandiose monotonie. Art dont la mesure ne doi
3 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
3 ispose. Ni plus ni moins que l’étude des sciences naturelles , la régie d’un théâtre ou l’administration du Grand-Duché. « J’ai tou
4 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
4 es anicroches sont calculées jusqu’à restituer le naturel — tout cela sans effort, manifestant plutôt cette vivacité d’inventio
5 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
5 uchante à vouloir « les gens » plus vivants, plus naturels , plus rayonnants, plus « solaires » qu’ils ne sont. En somme, bien qu
6 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
6 parable. Si l’on tient compte du fait patriotique naturel , la seule formule « internationale » qui reste possible est celle-ci 
7 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
7 tique des doctrines thomistes, et rejoint avec un naturel qui est succès de ce livre, les positions constructives d’Esprit, et
8 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
8 cause du bonheur de notre vie. Trouver son rythme naturel , et les moyens de s’y réduire, voilà le but de toute morale car le « 
9 pend.   2 décembre Questions. — Est-ce donc si «  naturel  » de vivre sur une île ? Est-ce que l’insularité (géographique et mor
9 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
10 ent où l’imagination, ranimant les grands rythmes naturels , libérant les vertus et les vices des entraves du respect humain, nou
11 xagérations soutenues, coïncidences, catastrophes naturelles , et tous les emplois de la fable suédoise : trolls, sorcières, belles
10 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
12 énor, l’on est tenté de ne voir en lui que le feu naturel du désir, — une espèce d’animalité véhémente, et comme innocente… Mai
13 , ce grand seigneur n’oublie jamais son rang. Son naturel , c’est le mépris ; rien n’est plus loin de la nature. Voyez comme il
14 oi ? Faut-il aller si haut ? La recherche « toute naturelle  » de l’intensité du désir ne peut-elle expliquer à elle seule cette i
15 t choisi, c’est l’esprit de lourdeur, notre poids naturel , notre faculté naturelle de retombement dans la coutume. L’immoralist
16 t de lourdeur, notre poids naturel, notre faculté naturelle de retombement dans la coutume. L’immoraliste est comme le moraliste
11 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
17 is calcul. Aux yeux d’un lecteur prévenu, tant de naturel pourrait encore passer pour une pose raffinée. J’imaginerais plutôt q
18 ion d’être complètement vrai finit par altérer le naturel  ; mais par son excès même, elle nous rend attentifs aux défauts régul
19 surfaire, tout ce qui peut entrer en jeu de bonté naturelle ou de sociabilité, disons mieux : d’amabilité ; ou mieux encore : du
20 e est aussi ressemblant. On l’y retrouve aussi au naturel , avec toutes ses curiosités, son admirable modestie et ses malices, s
21 e foi consistera toujours à passer outre au doute naturel , à confesser ce que la chair ni le sang par eux-mêmes ne sauraient co
22 ent parfois davantage qu’ils ne servent nos goûts naturels , d’où le danger de didactisme que nous courons tous plus ou moins. À
12 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
23 vous ôtez la condition des sciences physiques et naturelles , qui est la reconnaissance du corps, de la matière, et de la forme du
24 nverti persiste « le vieil homme ». Son mouvement naturel sera donc de chercher et d’inventer contre le temps d’autres défenses
25 peut-être faut-il rattacher à cette même tendance naturelle la propension croissante du Moyen Âge à substituer la tradition, l’al
13 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
26 de la philosophie, et toujours opposée à l’homme naturel , animal plus ou moins raisonnable et simple exemplaire de l’espèce. P
27 à l’ens sibi suscité par l’esprit dans l’individu naturel . Pour Descartes, le vrai moi c’est « l’âme », mais il s’agit d’une âm
28 ition paulinienne des « deux hommes en moi » : le naturel tyrannisant (et tyrannisé par la Loi) et le spirituel libérateur. S’i
29 e moi « phénoménal », c’est-à-dire contre l’homme naturel , exemplaire animal transitoire et « aveugle », enveloppe obscurcissan
30 orme des rapports qu’elles imaginent entre le moi naturel et le vrai moi, c’est-à-dire selon les langages, entre les phénomènes
31 ion de l’égoïsme, qui est l’impérialisme de l’ego naturel et sa fermeture autarcique. Mais les motifs de cette condamnation ne
32 son plein sens. Dans l’amour de soi-même, l’homme naturel s’ouvre à l’action du vrai moi spirituel et se laisse transformer, ré
33 Il lui reste la nostalgie d’une fuite hors du moi naturel . Désormais le vieil homme est jugé : n’ayant pu l’entraîner avec elle
34 par l’instinct qu’il excite au-delà des exigences naturelles , il ira fatalement s’épuiser dans l’illusoire multiplicité des « aven
35 se découvre comme étant l’Image » ; enfin l’amour naturel , qui recherche la satisfaction de ses désirs sans souci de l’agrément
36 prennent l’amour.77 » Comment réconcilier l’amour naturel (ou physique, comme on le dit improprement) avec l’amour spirituel ?
37 alors un simple objet — comme il est pour l’amour naturel , possessif — mais une virtualité divine que l’amant « imagine » (dont
38 répond par des mythes symbolisant ses résistances naturelles , et qui font l’intérêt de sa vie amoureuse. Mais l’Orient se contente
39 que insondablement plus ancien que notre individu naturel , et qui lui survivra dans le cours des siècles, sans surprises et mil