1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
1 t la carence de principes directeurs dignes de ce nom  ? Serait-ce que la mauvaise humeur du bourgeois dérangé agissant comm
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
2 ’est pas entre le peuple et la nation — entre les noms — mais entre « national » et « populaire », c’est-à-dire entre les ad
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
3 tiologie se borne la plupart du temps à mettre un nom abstrait sur chaque symptôme, Paracelse ne veut nommer les maladies q
4 Paracelse ne veut nommer les maladies que par le nom de leur remède. « Il ne faut pas dire que tel état est colérique, tel
4 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
5 des ouvrages que Kierkegaard publia sous son vrai nom , parce qu’il y exprimait directement son message décisif. Bien entend
5 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
6 ique — rompant ainsi le contact immédiat entre le nom et la chose qu’il exprime, entre le verbe et l’acte qu’il commande43,
7 ond à la présence sensible des choses mêmes. » Le nom , qui désigne la chose, appelle un geste de l’homme pour cette chose.
6 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
8 n prix. Un prix dont je connaissais tout juste le nom . Que je n’aurais jamais eu l’idée de solliciter. Et qui m’est octroyé
7 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une révolution refoulée (juillet 1938)
9 qui s’est noué. Complexe fasciste, avoué sous le nom d’antifascisme, c’est normal. On n’arrête pas une révolution lorsqu’e
8 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
10 , d’effacer les traces du péché, de retrouver les noms réels et les « signatures » primitives dans le jeu des symboles et de
11 ste. Mais notre monde est-il encore formulable en noms et en rythmes ? La science moderne ne tend-elle point à nous le rendr
9 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
12 u donné, tout le monde reste en droit de juger au nom des normes établies. Mais la foi, le salut personnel n’ont rien à voi
10 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
13 ne la preuve démente de la réalité des utopies au nom desquelles on l’a versé. Mais d’où vient cette fureur d’anticiper l’a
14 e ans, au Moyen Âge, pour qu’on l’invoque sous le nom de « tradition ». 58. Il faut alors, de toute nécessité, que le succ
11 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
15 uménal, s’oppose au moi phénoménal, et reprend le nom de personne. Chez Renouvier, la personne apparaît comme « fonction à
16 à chaque Spirituel, son individualité absolue, le Nom divin, investi en lui.61 » Ainsi donc, et selon les admirables commen
17 gne comme notre “individualité éternelle”, notre “ Nom divin”, ce que le vieil Iran désignait comme Fravarti 62. » L’Ange de
18 alors, d’où vient la personne ? Quel que soit le nom que lui ont donné les trois religions abrahamiques, le vrai moi est t
19 ins je la sens telle. Mais la lumière ? Est-ce le Nom qu’on lui donne qui diffère, — ou quoi d’autre ? Le point du dialogue