1 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
1 tique et tente de le rationaliser : il en fait un objet de discours. Par là même il le rend absurde. Il le « mystifie ». Qui
2 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
2 ots ? Plusieurs des Discours religieux ayant pour objet de « préparer à la Communion », je ne vois pour ma part qu’un seul mo
3 ux, que la personne, tout le reste peut devenir l’ objet de notre jeu. » p. 26. z. Rougemont Denis de, « Kierkegaard en Fran
3 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
4 son sens. » C’est un univers du discours, où les objets qui « veulent dire » s’assemblent en propositions (à l’homme), seul d
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
5 ouvenirs de famille datant du Moyen Âge, un tas d’ objets inutiles et bizarres, chargés de significations magiques. Ensuite, au
6 leur volonté de « singer Dieu », de recenser les objets et les formes, les rythmes et les lois cosmiques, afin de les parfair
5 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
7 l’esprit d’aventure y paraît plus sensible que l’ objet de la quête n’est clairement connaissable. Pourtant, certaines option
6 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
8 ’une liberté que n’aura jamais l’individu, simple objet du déterminisme universel. Et quant à la science d’aujourd’hui, dont
9 an : Parfois, j’arrache la personne mais sauve l’ objet . Parfois j’arrache l’objet, mais sauve la personne. Parfois, j’arrach
10 personne mais sauve l’objet. Parfois j’arrache l’ objet , mais sauve la personne. Parfois, j’arrache en même temps l’objet et
11 e la personne. Parfois, j’arrache en même temps l’ objet et la personne. Parfois, je n’arrache ni l’objet ni la personne. Le
12 ’objet et la personne. Parfois, je n’arrache ni l’ objet ni la personne. Le même commente : « Supprimer la personne et sauver
13 me commente : « Supprimer la personne et sauver l’ objet signifie éliminer le questionneur, non sa question. Et les trois autr
14 oué, le maître ne touche ni à la personne, ni à l’ objet . » Enfin ceci : « Ainsi que Bodhidharma (le fondateur du zen) l’a déc
15 n d’être connu par elle et de « devenir en elle l’ objet de sa propre connaissance.75 » C’est donc en Dieu que tout amour peut
16 l’amour unifié. L’Aimé n’est plus alors un simple objet — comme il est pour l’amour naturel, possessif — mais une virtualité
17 us procurent une jouissance. La divinité n’est un objet d’amour que parce qu’elle représente une volupté sans mélange… Le dés
18 e du divin… Mais l’amour parfait est celui dont l’ objet n’est pas limité. C’est cet amour qui est l’amour pur, l’amour de l’a