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tique et tente de le rationaliser : il en fait un
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de discours. Par là même il le rend absurde. Il le « mystifie ». Qui
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ots ? Plusieurs des Discours religieux ayant pour
objet
de « préparer à la Communion », je ne vois pour ma part qu’un seul mo
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ux, que la personne, tout le reste peut devenir l’
objet
de notre jeu. » p. 26. z. Rougemont Denis de, « Kierkegaard en Fran
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son sens. » C’est un univers du discours, où les
objets
qui « veulent dire » s’assemblent en propositions (à l’homme), seul d
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ouvenirs de famille datant du Moyen Âge, un tas d’
objets
inutiles et bizarres, chargés de significations magiques. Ensuite, au
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leur volonté de « singer Dieu », de recenser les
objets
et les formes, les rythmes et les lois cosmiques, afin de les parfair
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l’esprit d’aventure y paraît plus sensible que l’
objet
de la quête n’est clairement connaissable. Pourtant, certaines option
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’une liberté que n’aura jamais l’individu, simple
objet
du déterminisme universel. Et quant à la science d’aujourd’hui, dont
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an : Parfois, j’arrache la personne mais sauve l’
objet
. Parfois j’arrache l’objet, mais sauve la personne. Parfois, j’arrach
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personne mais sauve l’objet. Parfois j’arrache l’
objet
, mais sauve la personne. Parfois, j’arrache en même temps l’objet et
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e la personne. Parfois, j’arrache en même temps l’
objet
et la personne. Parfois, je n’arrache ni l’objet ni la personne. Le
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’objet et la personne. Parfois, je n’arrache ni l’
objet
ni la personne. Le même commente : « Supprimer la personne et sauver
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me commente : « Supprimer la personne et sauver l’
objet
signifie éliminer le questionneur, non sa question. Et les trois autr
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oué, le maître ne touche ni à la personne, ni à l’
objet
. » Enfin ceci : « Ainsi que Bodhidharma (le fondateur du zen) l’a déc
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n d’être connu par elle et de « devenir en elle l’
objet
de sa propre connaissance.75 » C’est donc en Dieu que tout amour peut
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l’amour unifié. L’Aimé n’est plus alors un simple
objet
— comme il est pour l’amour naturel, possessif — mais une virtualité
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us procurent une jouissance. La divinité n’est un
objet
d’amour que parce qu’elle représente une volupté sans mélange… Le dés
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e du divin… Mais l’amour parfait est celui dont l’
objet
n’est pas limité. C’est cet amour qui est l’amour pur, l’amour de l’a