1 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
1 ure où il va de soi ; il faut qu’il reste un lien obscur , informulé, un fait sentimental et tellurique, un ensemble de goûts e
2 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
2 une prière muette en moi, toute machinale et tout obscure .   24 mai On dirait que l’homme n’est pas fait pour durer : la vie ét
3 emble qu’il se passe des choses au fond du réduit obscur . La poule grogne furieusement quand je passe la tête. Je vais cherche
3 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
4 de sa liberté pour des « raisons » collectives et obscures . Il me paraît que le livre de Kuncz tire son tragique le plus secret
5 enjeu ni les causes véritables. Il ne reste que l’ obscure certitude, angoissante, que cette guerre « se fait toute seule », que
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
6 an l’image de la Mère, Nietzsche poursuit l’image obscure , et à lui-même infiniment secrète, d’une Vérité qui ne se rendrait po
5 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
7 lice au coin de l’œil. Puis il a quelques phrases obscures , apparemment contradictoires avec ce qu’il vient de me dire : « J’ai