1 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
1 ris de la nature, et d’autre part, le recours à l’ orthodoxie comme à une assurance prise sur le Saint-Esprit autant que sur le dou
2 oblème de l’église visible, de l’obéissance à une orthodoxie qui ne prétende pas s’emparer de l’Évangile, mais au contraire s’y or
3 de l’Évangile, mais au contraire s’y ordonner. «  Orthodoxie protestante — écrit Gide —, ces mots n’ont pour moi aucun sens. Je ne
4 angile, fondement unique et suffisant de la seule orthodoxie libératrice. ⁂ Si, malgré son génie du scrupule, Gide s’expose parfoi
2 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
5 Saint Paul reste sa bête noire. Et l’idée même d’ orthodoxie . Il nie vivement que le terme d’orthodoxie protestante puisse avoir u
6 même d’orthodoxie. Il nie vivement que le terme d’ orthodoxie protestante puisse avoir un sens. Le protestant, pour lui, c’est l’op
7 iritualité, d’où sa polémique inlassable contre l’ orthodoxie telle qu’il l’imaginait et dans laquelle il voyait (par erreur) la sa