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ris de la nature, et d’autre part, le recours à l’
orthodoxie
comme à une assurance prise sur le Saint-Esprit autant que sur le dou
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oblème de l’église visible, de l’obéissance à une
orthodoxie
qui ne prétende pas s’emparer de l’Évangile, mais au contraire s’y or
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de l’Évangile, mais au contraire s’y ordonner. «
Orthodoxie
protestante — écrit Gide —, ces mots n’ont pour moi aucun sens. Je ne
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angile, fondement unique et suffisant de la seule
orthodoxie
libératrice. ⁂ Si, malgré son génie du scrupule, Gide s’expose parfoi