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rchie nominaliste la plus grave : il ne sait ou n’
ose
plus définir et assumer son bien ni son mal, — et sans cesse il en pa
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« Ah ! comme je suis mal fait pour ma part, si j’
ose
ainsi parler de moi, mais je ne parle pas de moi, ou je ne parle pas
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e une tentation fasciste, trop faible encore pour
oser
s’avouer ; à gauche une peur du fascisme assez forte déjà pour que la
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ujourd’hui, il n’y a plus que les pacifistes pour
oser
réclamer ouvertement la guerre (contre les régimes fascistes). « Orgu
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aire chez moi, des tas de choses à écrire… Elle n’
ose
pas m’en demander davantage. Et moi, je recule devant l’entreprise de
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devant le saut. Peut-être leur suffirait-il, pour
oser
, d’une vision précise de cet état qu’ils rêvent et craignent. J’ai pe
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sécurité. Ce serait une raison bien débile, qui n’
oserait
s’exercer que sur du rationnel tout fait. S’il y a quelque part du ra
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’on ait l’envie de nier des règles que personne n’
ose
plus dire inviolables ! Qui donc se ferait tuer pour une vertu dont o
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géométriques à partir du point originel. Mais qui
oserait
encore envisager l’ambition d’un Guillaume du Bartas, d’un Peletier,
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e vrai croyant demain, ne sera-t-il pas celui qui
osera
dire : « Je ne crois pas ! » quand l’État contre l’homme invoquera le
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e temps irréversible de l’Histoire, et qu’ils ont
osé
l’accepter. La prédication paulinienne, avec son insistance extraordi
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n renie la personne : mais on ne croit plus, on n’
ose
plus croire qu’elle puisse répondre, c’est-à-dire être responsable. D
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it que l’image sensible, — et c’est pourquoi j’ai
osé
dire que Tristan n’aimait pas Iseut — cette passion n’est-elle pas mi
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8). Et saint Justin, l’œcuménique du iie siècle,
ose
parler d’un salut de la Matière. À force de l’étreindre de ses mains,