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e autorité comparable à celle qui éclate dans cet
ouvrage
entièrement créé, entièrement « autorisé ». Art, on le sait, avant to
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er » de Luther. Pour qui n’aurait pas lu d’autres
ouvrages
de Jouhandeau, les aphorismes qui composent l’Éloge de l’imprudence p
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s même de pompe. Tel est le premier succès de cet
ouvrage
. Il en révèle peut-être aussi certain défaut : Albert-Marie Schmidt d
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Il se pend. Ce résumé fait le plus grand tort à l’
ouvrage
. Il est cependant exact. Mais les faits, même en Russie, ne sont rien
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écrit le Dr Allendy dans l’Essai sur la guérison,
ouvrage
tout imprégné de l’esprit vitaliste de Paracelse, brève synthèse des
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lus antiques, sur la nature unique de la maladie,
ouvrage
dont on peut dire qu’il marque une date dans l’histoire de la connais
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n et de décision spirituelle que supposait un tel
ouvrage
. M. Thibaudet réclamait ici même une critique qui « contingentât » l’
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andieu, Mounier, préface de Malraux à son dernier
ouvrage
, etc.) J’ai quelques raisons de m’en réjouir. L’Ordre nouveau en a ti
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abord le Journal du séducteur, fragment d’un gros
ouvrage
intitulé De deux choses l’une, puis In vino veritas, fragment des Sta
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abuge en traduisant dès le début quelques-uns des
ouvrages
que Kierkegaard publia sous son vrai nom, parce qu’il y exprimait dir
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ys de secrets obstinés, de voies retorses. Si ces
ouvrages
font néanmoins quelque chemin, ce ne peut être qu’à contre-courant du
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e, c’est là vraiment « poétiser », collaborer à l’
ouvrage
de Dieu, et recréer la catholicité. Mais c’est aussi, dans le monde d
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ses beautés, énoncée dans l’Art poétique ? De cet
ouvrage
très sévère, et sublime en tant de passages, combien accepteraient l’
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défauts mêmes qu’on a pu reprocher aux précédents
ouvrages
de l’auteur. Mais c’est la méthode qui doit retenir ici : il s’agissa
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bibliothèque que celle qui rassemblerait tous les
ouvrages
analogues que, dans chaque sous-préfecture, un vieux docteur au fichu
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à fabriquer un filet de quatre-vingts mètres, bel
ouvrage
dont le détail m’intéresse. Le fils compose des cartes postales illus
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ier 1938)ai Professeur, écrivain, traducteur d’
ouvrages
français, ami de la France, séjournant en France, Aladár Kuncz, sujet
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oute une théorie de l’Histoire à l’origine de cet
ouvrage
d’une passionnante ambiguïté, et qui se donne l’air d’une « fantaisie
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de fédérer nos communes. » Voilà l’épigraphe de l’
ouvrage
, qui par ailleurs compose bien d’autres thèmes : celui des îles, celu
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maîtrise, on peut prévoir que la valeur d’un tel
ouvrage
restera d’ordre essentiellement biographique. Mais ici se pose le pro
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t, n’admirant plus, avec quelque ferveur, que les
ouvrages
qu’il se sentait le plus incapable d’écrire : ceux d’un Marcel Aymé,
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ffon écrit un peu plus tard : « Depuis la fin des
ouvrages
de Dieu, c’est-à-dire depuis la création de l’homme, il ne s’est écou
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doin, Découverte de la Personne, 1940, p. 22. Cet
ouvrage
est le meilleur exposé du personnalisme moderne, par un psychanalyste