1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 e autorité comparable à celle qui éclate dans cet ouvrage entièrement créé, entièrement « autorisé ». Art, on le sait, avant to
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
2 er » de Luther. Pour qui n’aurait pas lu d’autres ouvrages de Jouhandeau, les aphorismes qui composent l’Éloge de l’imprudence p
3 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
3 s même de pompe. Tel est le premier succès de cet ouvrage . Il en révèle peut-être aussi certain défaut : Albert-Marie Schmidt d
4 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
4 Il se pend. Ce résumé fait le plus grand tort à l’ ouvrage . Il est cependant exact. Mais les faits, même en Russie, ne sont rien
5 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
5 écrit le Dr Allendy dans l’Essai sur la guérison, ouvrage tout imprégné de l’esprit vitaliste de Paracelse, brève synthèse des
6 lus antiques, sur la nature unique de la maladie, ouvrage dont on peut dire qu’il marque une date dans l’histoire de la connais
6 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
7 n et de décision spirituelle que supposait un tel ouvrage . M. Thibaudet réclamait ici même une critique qui « contingentât » l’
8 andieu, Mounier, préface de Malraux à son dernier ouvrage , etc.) J’ai quelques raisons de m’en réjouir. L’Ordre nouveau en a ti
7 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
9 abord le Journal du séducteur, fragment d’un gros ouvrage intitulé De deux choses l’une, puis In vino veritas, fragment des Sta
10 abuge en traduisant dès le début quelques-uns des ouvrages que Kierkegaard publia sous son vrai nom, parce qu’il y exprimait dir
11 ys de secrets obstinés, de voies retorses. Si ces ouvrages font néanmoins quelque chemin, ce ne peut être qu’à contre-courant du
8 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
12 e, c’est là vraiment « poétiser », collaborer à l’ ouvrage de Dieu, et recréer la catholicité. Mais c’est aussi, dans le monde d
13 ses beautés, énoncée dans l’Art poétique ? De cet ouvrage très sévère, et sublime en tant de passages, combien accepteraient l’
9 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
14 défauts mêmes qu’on a pu reprocher aux précédents ouvrages de l’auteur. Mais c’est la méthode qui doit retenir ici : il s’agissa
10 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
15 bibliothèque que celle qui rassemblerait tous les ouvrages analogues que, dans chaque sous-préfecture, un vieux docteur au fichu
16 à fabriquer un filet de quatre-vingts mètres, bel ouvrage dont le détail m’intéresse. Le fils compose des cartes postales illus
11 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
17 ier 1938)ai Professeur, écrivain, traducteur d’ ouvrages français, ami de la France, séjournant en France, Aladár Kuncz, sujet
12 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
18 oute une théorie de l’Histoire à l’origine de cet ouvrage d’une passionnante ambiguïté, et qui se donne l’air d’une « fantaisie
19 de fédérer nos communes. » Voilà l’épigraphe de l’ ouvrage , qui par ailleurs compose bien d’autres thèmes : celui des îles, celu
13 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
20 maîtrise, on peut prévoir que la valeur d’un tel ouvrage restera d’ordre essentiellement biographique. Mais ici se pose le pro
14 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
21 t, n’admirant plus, avec quelque ferveur, que les ouvrages qu’il se sentait le plus incapable d’écrire : ceux d’un Marcel Aymé,
15 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
22 ffon écrit un peu plus tard : « Depuis la fin des ouvrages de Dieu, c’est-à-dire depuis la création de l’homme, il ne s’est écou
16 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
23 doin, Découverte de la Personne, 1940, p. 22. Cet ouvrage est le meilleur exposé du personnalisme moderne, par un psychanalyste