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et coupable. Il est donc possible de dire que le
péché
est la mesure du démesuré, et que pour le chrétien il n’est pas d’aut
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andeur ». Ainsi le chrétien existe en tant que le
péché
crée une tension entre lui et Dieu. Mais le péché ne devient réalité
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péché crée une tension entre lui et Dieu. Mais le
péché
ne devient réalité que pour le converti ; c’est donc la conversion qu
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retrouve pas de loi interne et de tension par le
péché
, il n’est plus qu’un être sans destinée, un « indiscret ». « Sa subst
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ssner et son maître c’est leur vision tragique du
péché
. Le Lépreux, journal apocryphe de l’empereur Alexandre Ier de Russie,
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paroles comme « Si ton œil te fait tomber dans le
péché
, arrache-le et jette-le loin de toi ». Mais Rimbaud est d’une autre t
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nait ses faiblesses pour des erreurs, non pour le
péché
, et d’autre part un orgueil assumé, puis renié avec la même violence,
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question de bien, de mal, de vice et de vertu, de
péché
même, parfois, quels sont les écrivains capables de déclarer leurs ré
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ut ensemble les catégories du bien et du mal : le
péché
. Le contraire d’un péché, c’est-à-dire ce qui le supprime, ce n’est p
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s du bien et du mal : le péché. Le contraire d’un
péché
, c’est-à-dire ce qui le supprime, ce n’est pas une vertu, mais le par
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mme le vice naît de la loi et s’y réfère. Mais le
péché
naît où meurt la foi, et meurt là où vit la foi. Au bien vulgaire des
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l comme donnée immédiate ; puis le bien ; puis le
péché
et le pardon. Et la grâce est déjà dans l’œil qui sait voir le péché
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Et la grâce est déjà dans l’œil qui sait voir le
péché
au sein du mal et du bien à la fois. « Mal » ou « péché » — le débat
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au sein du mal et du bien à la fois. « Mal » ou «
péché
» — le débat se ramène sur cette page, à une question de vocabulaire.
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at, c’est aussi que pour lui, le désespoir est le
péché
, la seule maladie vraiment mortelle, dont la foi seule, non la vertu,
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it aggraver d’une sottise cette Séparation, notre
péché
, contre laquelle toute l’œuvre de Claudel se soulève à l’appel de la
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u respect humain, nous jette dans le grand jeu du
péché
et de la grâce, et se confond avec la Charité. Imaginer, à ce degré,
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ompte des données concrètes du christianisme : le
péché
, le salut, le drame de la révolte et de l’amour. Mais elle spécule vo
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raire du doute intellectuel, mais le contraire du
péché
, lequel n’est nullement une erreur morale, mais un état de révolte ac
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cosmos à l’état adamique, d’effacer les traces du
péché
, de retrouver les noms réels et les « signatures » primitives dans le
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votre foi est vaine et vous êtes encore dans vos
péchés
. » Mais cette preuve n’est valable que pour la foi parfaite, et ce re
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après la mort ? Nagasena répondit : Celui qui a
péché
reprend une individualité, mais non un être pur. — Ô Nagasena, dis-mo
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d’exister devient pour eux l’équivalent de notre
péché
originel). Ils en ont fait autant pour les névroses qui s’attaquent à