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chez Goethe, il n’y a pas une révolte, il y a un
péril
conjuré. C’est contre ce qu’il nommera désormais son Daimon, contre «
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tude essentielle ? Il semble que la solidarité du
péril
crée en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, un
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ouge. C’est effrayant, cette immobilité devant le
péril
. La dictature fascine les masses, et les élites. Sous prétexte de lui