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caractérise Kierkegaard. L’on y trouvera moins de
paradoxe
et plus de délectation peut-être, une acuité lente de la réflexion, u
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nd, tels sont les éléments qui composent non sans
paradoxe
ce recueil de « motifs » romantiques et de frissons anarchiques. Le t
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ation — permettra-t-elle, par la vivacité même du
paradoxe
, une prise de conscience plus juste et plus efficace des puissances g
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r le réel. Au contraire l’on peut considérer sans
paradoxe
que la littérature de Goethe est un des moyens de silence dont il dis
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rges Duhamel (mai 1932)e L’ambiguïté, c’est du
paradoxe
détendu ; ou si l’on veut, c’est une contradiction intérieure dont le
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Pour la jeunesse de 1932, le conflit de vivre, le
paradoxe
fondamental de toute « existence » se concrétise dans une « nécessité
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à tenir Kierkegaard pour une espèce d’esthète du
paradoxe
moral, pour un immoraliste avant la lettre nietzschéenne. Admettons q
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l’acte de foi, qui saisit dans ce temps l’éternel
paradoxe
de la vie et de la mort du Christ, jette sur tous nos sérieux, poses
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d’aujourd’hui, se condamner à n’être pas compris.
Paradoxe
d’un génie catholique, isolé de la foule des hommes, par ce qui manif
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re européen furent les premiers à s’apercevoir du
paradoxe
politique que nous venons de définir. Ils eurent l’habileté de baser
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d’irritation, de nostalgie ou de perplexité ? Le
paradoxe
n’est qu’apparent. Qu’on n’oublie pas sa formation chrétienne ; ses l
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e, désormais indéniable. Saint Augustin résout le
paradoxe
en un dualisme à peine voilé : il y a l’Histoire de Dieu et celle des