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ubre, la naïveté puissante de ce film, et le même
parti pris
de bonne humeur héroïque. Tout ce qu’il faut pour entraîner l’adolesc
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s l’impunité générale. Claudel montre partout son
parti pris
, qui est de s’en tenir aux origines, et à cette origine, entre plusie
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sition devant un homme qui récuse sans cesse tout
parti pris
, et d’abord, quant à soi ? On renonce aisément à le fixer dans l’une