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aient trop de terre embrassée et par elle tout un
pays
et son peuple ; car « c’est ici le pays de la solidité, parce que c’e
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e tout un pays et son peuple ; car « c’est ici le
pays
de la solidité, parce que c’est le pays des ressemblances. Regarde, t
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st ici le pays de la solidité, parce que c’est le
pays
des ressemblances. Regarde, tout y tient ensemble fortement, comme da
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squ’à son Antiquité qui ne coïncide avec celle du
pays
de Vaud : non pas la grecque, qui est scolaire — pour eux — mais la b
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biblique, qui s’avance dès le matin à travers le
pays
, et offre à tous la Parole, « ayant l’aspect d’une brochure à couvert
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ne réussit une révolution d’intellectuels dans un
pays
qui compte à cette époque moins de 3 millions d’ouvriers sur une popu
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nce de succès ? Où est sa tradition vivante en ce
pays
? La violence des communistes français reste le plus souvent verbale,
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, en Espagne, en Hollande, en Irlande et dans les
pays
latins de l’Amérique, cette « troisième force », anticapitaliste et n
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. 22. Exemple frappant de l’Allemagne : voici un
pays
enfin qui réunit toutes les conditions théoriques prévues par Marx po
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« Le plus beau
pays
du monde » (octobre 1935)w Toujours ces mots. Quand je dis qu’ils
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evoir d’anglais : « L’Angleterre est le plus beau
pays
du monde. » Un inspecteur passait par là. Il lit le devoir. Tonnerre
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a beauté ?). « Démodé » : on se demande dans quel
pays
. « Pacifiste » ? Aujourd’hui, il n’y a plus que les pacifistes pour o
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bon qu’on dise que l’Angleterre est le plus beau
pays
du monde ? Cela du moins ne manque pas de logique, malgré la première
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ue la proposition « l’Angleterre est le plus beau
pays
du monde » comporte un sens rationnel ; que c’est un jugement qui con
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ite Alice écrit que l’Angleterre est le plus beau
pays
du monde, elle veut dire simplement : j’aime mon pays. L’amour exclut
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du monde, elle veut dire simplement : j’aime mon
pays
. L’amour exclut toute comparaison. Dire que tel pays « est le plus be
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s. L’amour exclut toute comparaison. Dire que tel
pays
« est le plus beau du monde », ce n’est pas dire qu’après enquête on
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te on aboutit à cette conclusion : il y a dans ce
pays
plus de beauté que dans tel et tel autre. C’est tout au contraire exp
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on, et rien n’est plus absurde que de comparer un
pays
à un autre, un amour à un autre, car où est l’étalon, où est la mesur
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nale » qui reste possible est celle-ci : « Chaque
pays
est le plus beau du monde ». C’est la formule fédéraliste. — Inutile
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ctions. w. Rougemont Denis de, « “Le plus beau
pays
du monde” », La Nouvelle Revue française, Paris, octobre 1935, p. 633
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une petite ferme, tout au fond du bocage vendéen,
pays
de secrets obstinés, de voies retorses. Si ces ouvrages font néanmoin
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! et pourtant c’est bien cela — tout au bout d’un
pays
dénué de ressources, pratiquement analogue, j’imagine, à un poste col
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its événements qui se déroulèrent dans ce coin du
pays
, et surtout pour les légendes, locales, qui ont fortement exagéré et
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ouve un peu partout pour sauver « l’esprit » d’un
pays
. J’ai passé tout l’après-midi dessus. — Cela commence par une chroniq
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s maisons et le clocher. Il est seul au-dessus du
pays
. Je voudrais le dessiner dans le style romantique, avec tous ses déta
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oute, mais il n’y en a pas tant à raconter sur ce
pays
. Je l’ai laissée en plein mystère. Elle a dû en parler longuement ave
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’arrive rien ? « On ne meurt pas de faim dans nos
pays
», dit-on, et je crois bien que je l’ai dit quelquefois. Mais il y a
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pouvoir prolonger en pensée notre marche jusqu’au
pays
voisin. Cette liberté insulaire est une liberté négative. Elle nous m
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et noirs se révèlent au-delà de la plage, nouveau
pays
tout grouillant de merveilles, d’eaux ruisselantes et de vies monstru
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avaliers, « appelés à faire vivre la joie dans le
pays
du fer, à l’époque du fer » nous ont appris à leur façon « les riches
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éenne dont le génie ait eu la force de recréer un
pays
tout entier, avec ses classes et ses institutions, ses armes, ses cha
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taille, Napoléon a découvert la vie concrète d’un
pays
et des êtres dont c’est la patrie. Il a conçu les premiers doutes hum
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Alice au
pays
des merveilles, par Lewis Carroll (août 1938)am Si l’on songe que
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enis de, « [Compte rendu] Lewis Carroll, Alice au
pays
des merveilles », La Nouvelle Revue française, Paris, août 1938, p.
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e doctrine politique ou sociale, de l’action d’un
pays
ou de l’option d’un homme, il n’est donc plus question de demander si