1
tel livre. Il y a des sujets éternels, ou mieux,
perpétuels
— sujets d’étonnement perpétuel — et la Fin du Monde est l’un d’eux.
2
rnels, ou mieux, perpétuels — sujets d’étonnement
perpétuel
— et la Fin du Monde est l’un d’eux. Un vrai mythe, c’est-à-dire un é
3
n de ses amis, vers ce temps. « Goethe vit sur un
perpétuel
pied de guerre et de révolte psychique ». Et lui-même gémit, avec une
4
sent Brett et les autres de cet état d’irritation
perpétuelle
où vivait Lawrence : « Je suis épuisé — Par l’effort que je fais pour
5
roblèmes de la vie banale. Il y a dans ce passage
perpétuel
de l’abstrait au concret, ou plutôt dans cette mêlée shakespearienne
6
t que l’une est une langue « avertie », posant un
perpétuel
avertissement, tandis que les autres ont plutôt l’air de résulter d’u
7
eulement des formes. C’est un monde en recréation
perpétuelle
, et tout s’y tient parce que chaque être y agit pour tout ce qu’il n’
8
rime et non le plaisir qu’il cherchait. Polémiste
perpétuel
, il se trouve entièrement déterminé par le bon et le juste — contre e
9
C’est que le désir de nouveauté et de changement
perpétuel
, dès que l’esprit insatiable l’excite, devient une menace pour la vie
10
utrement qu’on ne l’a fait jusqu’à lui. Polémiste
perpétuel
, Nietzsche se trouve entièrement déterminé par le bon et le juste — c
11
s ? Je crois qu’on s’est trop laissé prendre à sa
perpétuelle
polémique contre les convertis-convertisseurs. Il faudrait voir que p
12
er par le changement de l’excitation, par le défi
perpétuel
aux attachements. C’est la liberté négative revendiquée par Don Juan