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l : ce serait une sorte de généalogie du réalisme
poétique
. 1. Obscurité : Kassner ne pose pas les problèmes dans nos catégori
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ui postule la vision, c’est-à-dire l’appréhension
poétique
du monde. Rien n’est plus étranger au nominalisme qui envahit la crit
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Tel qu’il est, un petit chef-d’œuvre d’humanisme
poétique
. Car l’« érudition » de Cingria reste si constamment précise et malic
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texte, mais cela toujours grâce à des inventions
poétiques
jouant sur la lettre même, c’est-à-dire sur ce qu’il y a de plus sign
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ert par son anthologie tout un monde spirituel et
poétique
plein de dangereuses merveilles. Le choix des textes me paraît des pl
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L’Art
poétique
ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)aa De l’Art poé
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nser avec les mains (décembre 1936)aa De l’Art
poétique
de Claudel, qui domine de son poids les écritures du siècle, je retie
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es du siècle, je retiendrai d’abord deux mots : «
poétique
» dans le titre ; et « connaissance », qui s’inscrit à chaque page. L
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ornement de nos loisirs. Mais Claudel dit : l’art
poétique
est art de faire. Un gémissement célèbre, chez les clercs, déplore l’
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nt à la raison de ses beautés, énoncée dans l’Art
poétique
? De cet ouvrage très sévère, et sublime en tant de passages, combien
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l’appel de la Joie. Le monde qu’interprète l’Art
poétique
ne connaît pas Descartes le diviseur, ne connaît pas de localisation
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. Ô singerie géniale et ministère manifeste ! Art
poétique
, art de refaire le monde — tel que Dieu l’a connu de toute éternité !
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et, la citation du Cratyle qu’il donne dans l’Art
poétique
(p. 172) dit exactement le contraire. 41. On pourrait en tirer d’aut
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aa. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] L’Art
poétique
ou Qu’il faut penser avec les mains », La Nouvelle Revue française, P
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e que d’autres jugent profond. Son défaut de sens
poétique
me paraît presque inégalé depuis Montaigne. (Je ne nie pas un instant
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l’amour. Cela n’empêche pas la poésie, les amours
poétiques
, ni le désir, ni « cette adoration dont la femme a besoin pour s’acco
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emble, qu’une immense transposition sur les plans
poétique
et religieux du Second principe de la thermodynamique. L’autre moitié
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ire ce beau roman autobiographique : la fraîcheur
poétique
ou mieux, l’euphorie spirituelle qui baigne l’œuvre, situe dans la ré