1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 re du seul succès qui pour Faust serait réel : la possession bienheureuse de l’instant. Et lorsque, épuisé mais pacifié, il va qui
2 de Magie » que Faust enfin rejoint dans la pleine possession de ses forces et l’assurance du regard. L’âme, purifiée de sa « vieil
2 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
3 italisme. Mounier part d’une phénoménologie de la possession — presque trop brillante par endroits —, s’engage dans un exposé synt
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
4 si, je ne puis vivre nulle part sans me créer des possessions , appelant ainsi toute chose que je sais mettre en œuvre à ma façon, e
5 de leurs pères ? Il faut tout ignorer de la vraie possession  ! Une chose n’est mienne que pour un temps, et si je change, elle me
6 et franchir au moins en pensée les bornes de ses possessions pour aller se mêler aux « autres », à l’étranger… Tout ici me ramène
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
7 re aussi qu’il n’est pas ? Celui qui a, vit de sa possession et ne l’abandonne pas pour l’incertain, — entendez : s’il possède vra
8 ide les rend toutes méprisables après la première possession . Pourquoi s’attarderait-il ? Elles n’étaient excitantes pour l’esprit
5 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
9 ndemain ». Limitant son désir à ces désirs qu’une possession rapide anesthésie, l’âme retombe alors dans les liens de l’instinct,
10 r, la source de sa jouissance. Dans la joie de la possession , la souffrance du désir est pour un instant apaisée… et l’homme perço