1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)
1 personne s’occupe ». Dès la seconde page, c’est à pousser des cris de joie. Les enfants comprendront-ils ? Dans la mesure seule
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
2 consisterait à se laisser convaincre… Tout les y pousse , et l’on se demande en vain quelle idéologie les empêcherait encore d
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
3 les approche avec méfiance et tout d’un coup les pousse par-derrière, et rit. C’est un long enfant maigre au regard narquois
4 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
4 eût été beaucoup plus restreint. Les raisons qui poussèrent Kierkegaard à publier ses premières œuvres sous des masques diverseme
5 iques ont pour dessein, plus ou moins déguisé, de pousser à l’absurde les attitudes de vie ou de pensée qui ne se fondent pas d
5 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
6 orme embouteillage, il n’y a plus qu’à se laisser pousser dans le sens incertain de la masse. Or ce sens, tellement incertain q
6 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
7 Ce qui était pour nous résultantes d’innombrables poussées et résistances, malaisément équilibrées mais lentement accoutumées, d
8 uittent d’eux-mêmes ; d’autres sont graduellement poussés au-dehors et d’autres, encore, sont expulsés de force par leurs collè