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ompte de la bourgeoisie que sur le peuple qu’elle
prétend
« observer ». 5. De tout bel canto, peut-on dire. C’est le ton de la
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mière fois un livre absolument profond. Non qu’il
prétende
percer les apparences du monde pour s’enfoncer dans un ésotérisme, au
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t, provisoire, de toute philosophie naissante qui
prétend
restituer aux mots leur pouvoir pratiquement bouleversant. À cet égar
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re nous à récuser la Vérité que les mystiques ont
prétendu
traduire, ce qui reviendrait à les taxer de mythomanie. La ferveur li
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docteurs » nationalistes qu’il attaque ont jamais
prétendu
que leur politique fût une « incarnation » de l’esprit ; 2° au cas où
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lles. Considérant le désordre où nous sommes, ils
prétendent
nous en tirer en parant, comme ils disent, au plus pressé, c’est-à-di
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a fois sur l’un des principes que les démocraties
prétendaient
défendre, et sur le système qu’elles pratiquaient en fait. C’est ains
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visible, de l’obéissance à une orthodoxie qui ne
prétende
pas s’emparer de l’Évangile, mais au contraire s’y ordonner. « Orthod
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on s’empresse d’en appeler à la coutume, et l’on
prétend
« renouveler la tradition ». Il suffit qu’une charte, une coutume, un
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t jamais été révolutionnaires. Elles n’ont jamais
prétendu
transformer l’ensemble des réalités humaines : sociales, économiques
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dialectique. — Au défi de dogmes sublimes et qui
prétendent
transfigurer la vie concrète, l’Occident répond par des mythes symbol