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s-à-vis de ses personnages ; car il risque de les
priver
par là de cette autorité mystique, absolue et naïve où gît leur profo
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eurs manifestations, — à quoi l’on ne s’est point
privé
d’ajouter quelques tomes depuis. Il convient de marquer toutefois qu’
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la démoralisation. Démoraliser un homme, c’est le
priver
de son pouvoir créateur. C’est le priver de sa main, — ou asservir ce
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c’est le priver de son pouvoir créateur. C’est le
priver
de sa main, — ou asservir cette main. Est-ce que ma main n’a pas sa v
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t ou niant ce terme, cela revient littéralement à
priver
l’œuvre, et ces fragments qu’on nous en donne, de toute espèce de sen
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nt : qu’un innocent, ou qui se croit tel, se voie
privé
de sa liberté pour des « raisons » collectives et obscures. Il me par
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ment définir un saint qui ne croit pas ? Un saint
privé
de foi autant que de religion, ni chrétien ni hindou, sans mystique,
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ophes imprévisibles et arbitraires, des désastres
privés
et publics et de leur injustice d’autant plus scandaleuse qu’elle app