1 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
1 suppose une remarquable absence d’imagination. Le prochain plan y pourvoira peut-être. Tout cela est en pleine métamorphose. Mai
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
2 mment la négation de Dieu entraîne la négation du prochain , dans un esprit voué à la plus torturante logique. s. Rougemont De
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
3 té. » L’homme moderne, dit Keyserling, n’a pas de prochains  ; il n’a que des voisins inévitables. Voilà Lawrence, l’homme sans pr
4 voisins inévitables. Voilà Lawrence, l’homme sans prochain . Car le prochain selon la définition évangélique, c’est justement cel
5 es. Voilà Lawrence, l’homme sans prochain. Car le prochain selon la définition évangélique, c’est justement celui qui « exige »
4 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
6 , et de l’esprit, ne se poseraient plus durant le prochain demi-siècle. Parler de la primauté du spirituel et de l’humain, c’éta
5 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
7 l’argent. Si vous prenez N. par exemple (la ville prochaine sur le continent) ils n’auraient pas idée de ça, au contraire, ils so
8 d on en est là. Quand on en est à ne plus voir le prochain , la situation n’est plus humaine, elle ne pose plus de questions util
6 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
9 s les démocraties : Orwell prévoit l’instauration prochaine du contrôle des pensées par le Pouvoir. Utopies optimistes chez les t
7 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
10 l’amour de soi-même, sans lequel point d’amour du prochain . Tous les moralistes du monde s’accordent avec les spirituels dans le
11 toute la Loi et les Prophètes : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », suppose évidemment un moi duel, au sein duquel l’am
12 taure d’une manière telle que s’aimer et aimer le prochain soit un même acte : sinon le comme n’aurait pas son plein sens. Dans
13 ’agent de l’amour. Ce vrai moi seul peut aimer le prochain , parce que seul il discerne en l’autre le même amour. « Aimer, c’est
14 mme de soi — est sa vocation singulière. Aimer le prochain dans sa personne, c’est discerner sa singularité, sa vocation, même v
15 qui se hait de cette manière ne peut pas aimer le prochain  : il ne peut voir en lui que son semblable — un corps « vil » et une
16 .78 On reconnaît ici les « notes » de l’amour du prochain selon Kierkegaard79, mais aussi selon Swedenborg : Comme tout bien pr
17 s le sens suprême et au degré le plus éminent, le Prochain  ; c’est donc d’après lui que s’établissent toutes les distinctions re
18 ’établissent toutes les distinctions relatives au prochain , c’est-à-dire que chacun est le prochain en proportion de ce qu’il a
19 tives au prochain, c’est-à-dire que chacun est le prochain en proportion de ce qu’il a quelque chose du Seigneur en lui ; or, co
20 de du Seigneur, il s’ensuit que l’un n’est pas le prochain de la même manière que l’autre… ; il n’y a jamais chez deux personnes
21 n absolument identique… C’est l’amour qui fait le prochain , et chacun est le prochain selon la qualité de son amour.80 En dépit
22 st l’amour qui fait le prochain, et chacun est le prochain selon la qualité de son amour.80 En dépit de tout ce qui distingue l
23 cture des relations entre Dieu, le vrai moi et le prochain , reste exactement comparable, comme le sont les trois formes de l’amo
24 e l’amour de soi-même et de l’amour de Dieu et du prochain  : faute de protagonistes bien réels, ces problèmes ne sauraient avoir
25 e ! » s’écriait saint Jean de la Croix. Écarte le prochain  ! ajoutent les spirituels du védantisme et du bouddhisme. S’il est vr
26 ’amour, — j’entends l’amour de Dieu, de soi et du prochain , l’amour-passion, et même l’amour matrimonial. Mais on me dira que l’
27 ion et l’amour mystique, l’érotisme et l’amour du prochain , sont des problèmes occidentaux, posés à tous par les rigueurs mal to
28 mer, par exemple, la réalité de la personne ou du prochain ) on n’en saurait déduire qu’elles excluent leur contraire, ou que l’o
29 ie. (Brihad-âranyaka Up.) La notion de l’amour du prochain , et l’injonction évangélique d’aimer aussi son ennemi ne sont pas abs