1 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
1 éprouve à se servir des instruments dont il a la propriété  ». Et son corps lui est comme « un document où il suit les œuvres de
2 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
2 De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personn
3 De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounie
4 is publiés jusqu’ici par Mounier, ce traité de la propriété est sans doute le mieux venu, le plus précis et situé. On aimera la m
5 et autoriser le dessein de Mounier : défendre la propriété contre les mauvaises raisons des capitalistes, ou comme il dit : « li
6 e la dialectique des propriétaires les valeurs de propriété personnelle ». La plupart des distinctions que formule la Somme — usa
7 e est celui-ci : il s’agit de passer d’un mode de propriété abstrait et anonyme à un mode personnel et responsable, ou encore, d’
8 Mounier d’avoir, chemin faisant, démontré que la propriété n’est pas un instinct permanent, mais au contraire un besoin de l’esp
9 enis de, « [Compte rendu] Emmanuel Mounier, De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personn
10 mmanuel Mounier, De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme  », La Nouvelle Revu
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
11 mettront obstacle. (Pour les bourgeois, l’idée de propriété est liée à l’idée d’héritage. Par quelle folie pensent-ils pouvoir « 
4 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
12 , comme la structure de l’atome traduit certaines propriétés de l’énergie. « C’est l’amour dominant qui fait l’homme… L’homme est