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ment mise en question, posent eux-mêmes si peu de
questions
, ou de si minimes. Je lis un article récent de Ramuz (sur le Travail)
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ent de l’heure. Et je m’inquiète ; non pas de ces
questions
ni de la prise de parti (antimarxiste) qu’elles déterminent chez Ramu
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interrogeant notre destin, lui poser en face des
questions
d’une accablante simplicité. Me tromperais-je ? Ai-je mal su lire tan
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questions si rudimentaires, si peu élaborées, des
questions
que n’importe qui pourrait poser et qui ne peuvent tirer de nous rien
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losophies mal embrayées ?… Nous voici ramenés aux
questions
simples, et réputées grossières. Peut-être voit-on mieux maintenant d
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d’une magie maîtrisée, c’est-à-dire incarnée. La
question
se pose pour lui, dès l’abord, en termes matériels, urgents et contra
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s, visible tout au long de l’œuvre, prouve que la
question
se pose sans cesse à nouveau et que sous l’apparence de plus en plus
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Si dans tous les écrits de notre temps il est
question
de bien, de mal, de vice et de vertu, de péché même, parfois, quels s
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éché » — le débat se ramène sur cette page, à une
question
de vocabulaire. Une simple question de vocabulaire comme on dit, — lo
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e page, à une question de vocabulaire. Une simple
question
de vocabulaire comme on dit, — lorsqu’on se soucie peu de savoir ce q
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uvelle. Ici, je ne dirai plus nous, mais je. À la
question
« Prenez-vous au sérieux vos idées, y croyez-vous ? », les hommes de
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de ce temps n’aiment pas répondre, car c’est une
question
personnelle. Une mise en question réelle. Je la cherche. Ce qu’il fa
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de la sagesse du grand siècle, sous le coup de la
question
capitale qu’on voudrait poser sous cette forme : la vérité est-elle e
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, dans cette frénésie de bonne humeur, il y a une
question
. Non pas un doute, mais quelque chose qui veut une réponse, et qui es
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de les y aider ; et de comprendre que seule cette
question
-là rétablit la communion humaine. n. Rougemont Denis de, « [Compte
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ais non pas en vertu d’un conseil bolcheviste. La
question
se ramène à ceci : si tout le monde était mis d’accord par une agress
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be rousse pour avoir l’air d’un faune. 33. Même
question
pour les Conversations avec Eckermann, pour le Journal de Byron, etc.
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porelles, à s’oublier en Dieu, son principe ». La
question
est alors de savoir s’il existe une mystique vraiment chrétienne, une
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ne le croient, préfèrent appeler révolution. Ces
questions
me paraissent capitales. Et je ne vois pas comment il serait possible
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est admettre la révolution — se posent toutes les
questions
« pratiques » ; celles qui passionnent les hommes d’action et qu’ils
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uteur d’avoir passé trop rapidement sur certaines
questions
dernières (le sens dernier de la liberté humaine, par exemple). Mais
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aquant. Sachons gré à ce livre de poser enfin les
questions
que la France se doit de résoudre pour l’Europe, et de les poser sous
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, disait Luther — il a voulu poser honnêtement la
question
tragique et réelle du doute inséparable de la foi ; parce que, « comm
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me témoigne contre l’humilité de son retrait.) La
question
qui se posait dès lors était celle-ci : « Comment donner à une époque
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par M. Paul Tisseau en reviennent tous à la même
question
, qui est celle du sérieux dernier, de la prise au sérieux de la vérit
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mpartialité ; et je suis loin de trouver vaine la
question
que pose Fondane : « Ils suivent Kierkegaard du regard — mais où en s
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n sont-ils de leur propre démarche ? » Oui, cette
question
est gênante et sérieuse, et c’est pourquoi il fallait la poser. Et c’
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avoir comment on y peut « vivre » ? C’est à cette
question
judicieuse que j’ai voulu répondre. Début de novembre Je commencera
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e car le « bien penser » en dépend. 2 décembre
Questions
. — Est-ce donc si « naturel » de vivre sur une île ? Est-ce que l’ins
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voici des semaines qu’il n’y est à peu près plus
question
des « gens ». En somme, je ne m’intéresse plus guère à leurs affaires
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ilieu, comme les animaux. Ils ne se posent pas de
questions
gênantes. Or, c’est mon métier d’en poser… Il vaut mieux partir quand
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ituation n’est plus humaine, elle ne pose plus de
questions
utiles. 2 juillet La sécheresse a été la plus forte : malgré nos ar
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une réponse assez vague, m’étonnant surtout de la
question
. Huit jours plus tard, il recevait le prix Nobel. Chez Richard Heyd,
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n jouait au « cadavre exquis ». (L’un écrit trois
questions
, l’autre en même temps trois réponses, puis on lit à haute voix les p
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e, plutôt que de hasard.) J’avais écrit, dernière
question
: « Qu’est-ce que le style ? » Catherine, sa fille, lut sa dernière r
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ays ou de l’option d’un homme, il n’est donc plus
question
de demander si c’est « vrai ». C’est « dans le sens de l’Histoire »,
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exactes, mais par nos choix fondamentaux. Car la
question
n’est pas de savoir « ce qui arrivera », mais de savoir dès maintenan
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isposés à laisser arriver ou à faire arriver ; la
question
n’est pas de supputer le sens probable d’un devenir fatal, pour nous
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ui ne peut s’originer qu’en la personne. Bref, la
question
n’est pas de deviner l’Histoire, mais de la faire. Seules nos options
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l’objet signifie éliminer le questionneur, non sa
question
. Et les trois autres distinctions s’expliquent de la même manière. »
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xpérience. C’est seulement à partir de là que nos
questions
deviennent capables de réponses. Sur cette phrase des upanishads, sur
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ne serait plus qu’une vaste illusion. 70. Les
Questions
de Milinda (Milindahunha), ier siècle A.D. Milinda est le roi indo-gr