1
ndiscrets de comprendre intellectuellement sans «
réaliser
». Il faut que les pensées créées ne soient concevables qu’en elles-m
2
comme un moule reçoit la matière en fusion et la
réalise
soudain — la fait chose — en lui donnant une forme ; l’actualise — la
3
mme qui vit concrètement les grands mythes et les
réalise
dans sa vision, cet homme sera toujours en puissance d’aujourd’hui, e
4
rète, grâce au recoupement de deux vies qui l’ont
réalisée
selon des voies totalement divergentes, une attitude humaine qui me p
5
ent le même que le premier, dans une phase plus «
réalisée
». L’homme moderne est peu fait pour comprendre cela, de même qu’il e
6
le mortel danger qui se lève à un pas. Tous deux
réalisent
le renoncement, le deuxième temps de cette dialectique, dans un mouve
7
r avec les mystères, et par là même l’occasion de
réaliser
sans cesse à nouveau l’exigence dernière de la magie : son reniement
8
he n’aura plus d’autre possibilité que celle de «
réaliser
» la philosophie. Réaliser, c’est s’engager dans l’aventure politique
9
ibilité que celle de « réaliser » la philosophie.
Réaliser
, c’est s’engager dans l’aventure politique ou religieuse. Au grand He
10
dans le langage d’aujourd’hui : c’est le fait de
réaliser
la vérité que l’on connaît ; ou encore, de la prendre au sérieux et d
11
une division et divise la volonté qu’on met à le
réaliser
. Tel est le sujet de la Pureté du cœur. La plupart des écrits proprem
12
nçais. Il s’agit moins de la dénigrer que de la «
réaliser
» en la débarrassant de ses « croyances fantastiques » et de sa « mét
13
he « le jour ni l’heure ». Seule donc la négation
réalisée
du temps permet d’assumer le temps dans sa réalité. Sans la Résurrect
14
vi de rien à celui qui quitte ce monde sans avoir
réalisé
son propre monde intérieur. Elle reste invécue, comme les Vedas non r