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. Dans quelques-uns des plus significatifs de ces
récits
(Dieu et le sommeil, Les Fins dernières) l’on assiste à un réveil, ex
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icité même, le met en valeur mieux que tout autre
récit
de Ramuz. Voici Caille, le colporteur biblique, qui s’avance dès le m
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uziens, juxtapositions brutales, interférences du
récit
, surimpressions, changements de temps au cours d’une phrase, sont ici
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fidèle et pur. Notez aussi cette petite phrase du
récit
de Brett : « Puis vous partez écrire dans les bois. » On allait oubli
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Si l’on songe que le conte est par essence un
récit
cocasse et en quelque manière libérateur, on conçoit que les meilleur
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pte de la plupart des « gags » dont se compose le
récit
. Et parfois les pièges logiques ont une double détente par calembour.
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e ne le conçois, comme œuvre d’art, que limité au
récit
d’une crise, et soumis par lui-même à une sorte d’unité qui fait néce
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lus un conte, elle se distingue absolument de son
récit
. Elle ne concerne plus le passé, ni ses « leçons », qu’on pourrait au