1 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
1 . Dans quelques-uns des plus significatifs de ces récits (Dieu et le sommeil, Les Fins dernières) l’on assiste à un réveil, ex
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
2 icité même, le met en valeur mieux que tout autre récit de Ramuz. Voici Caille, le colporteur biblique, qui s’avance dès le m
3 uziens, juxtapositions brutales, interférences du récit , surimpressions, changements de temps au cours d’une phrase, sont ici
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
4 fidèle et pur. Notez aussi cette petite phrase du récit de Brett : « Puis vous partez écrire dans les bois. » On allait oubli
4 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alice au pays des merveilles, par Lewis Carroll (août 1938)
5 Si l’on songe que le conte est par essence un récit cocasse et en quelque manière libérateur, on conçoit que les meilleur
6 pte de la plupart des « gags » dont se compose le récit . Et parfois les pièges logiques ont une double détente par calembour.
5 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
7 e ne le conçois, comme œuvre d’art, que limité au récit d’une crise, et soumis par lui-même à une sorte d’unité qui fait néce
6 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
8 lus un conte, elle se distingue absolument de son récit . Elle ne concerne plus le passé, ni ses « leçons », qu’on pourrait au