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être que l’illic et tuc de cette Mort et de cette
Résurrection
peut devenir quelque part, dans une vie, le hic et nunc de la foi ? M
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espèce de doctrine de l’Histoire : il annonce la
Résurrection
, qui est victoire sur le temps comme sur la mort. Mais c’est bien à p
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ormant le réel insensé en un poème de morts et de
résurrections
dominées par des rythmes et par des archétypes qui s’accordent à ceux
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ermet d’assumer le temps dans sa réalité. Sans la
Résurrection
, l’homme n’aurait pas la preuve d’une existence qui échappe au temps
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’âme chrétienne doit le transfigurer, — d’où la «
résurrection
de la chair ». Il en va de même pour le bouddhisme originel. Qu’est-c
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131. 63. Henry Corbin, Terre céleste et corps de
résurrection
, 1960, p. 31. 64. Sur les solutions proposées à ce problème par l’In