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profonde de l’esprit dont procèdent à la fois le
refus
de la magie et le goût passionné de l’effort immédiat. Qu’un fait de
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même qui constitue l’Occident spirituel. C’est le
refus
de la magie qui fonde notre éthique, et ce dilemme est peut-être le p
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on silence intérieur. Période de repliement et de
refus
, si douloureuse que le signe en devient visible sur ses traits. Je ne
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ble »12. L’on découvre ici la source de l’étrange
refus
de Goethe, dès qu’il s’agit de faire état des causes premières, des f
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n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, unité de
refus
devant la consternante misère d’une époque où tout ce qu’un homme peu
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t clair que toute impartialité serait hypocrisie,
refus
. Qu’on trouve donc ici une prise de parti. Nous sommes une générati
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révolution, ce n’est plus un état d’esprit, ni un
refus
des tâches d’homme. Henri Lefebvre l’a montré, je n’ajouterai rien à
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. Je vois clairement que leurs buts provoquent le
refus
, pour les mêmes raisons, aggravées23. Ils jouent sur une révolte des
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et tel autre. C’est tout au contraire exprimer un
refus
pur et simple de comparer. C’est affirmer une préférence inconditionn
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onversion devient pour lui le problème négatif du
refus
de la fausse conversion, ou de la conversion trop « facile ». « Je ne
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vangile. » Mais n’y a-t-il pas, à l’origine de ce
refus
de toute église (tant reformée que catholique), un attachement à sa v
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uence, sans doute pénible, mais normale. 5. Le
refus
moderne du temps Cette description rapide d’une attitude nouvelle
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s de ma vie. Anticiper l’avenir, c’est le dernier
refus
de l’aventure du temps — la fuite dans l’utopie. Utopies pessimistes,
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ur genèse dans cette discorde permanente, dans ce
refus
que l’âme oppose au corps, vu comme signe et symbole de la « prison »