1 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
1 elle dont elles constituent probablement l’unique remède . C’est comme la genèse individuelle et religieuse de ce fait trop act
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
2 e veut nommer les maladies que par le nom de leur remède . « Il ne faut pas dire que tel état est colérique, tel autre mélancol
3 l’origine cosmique du mal, où se trouve aussi le remède . Pour connaître et guérir une maladie, il ne suffit pas de voir l’hom