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elle dont elles constituent probablement l’unique
remède
. C’est comme la genèse individuelle et religieuse de ce fait trop act
2
e veut nommer les maladies que par le nom de leur
remède
. « Il ne faut pas dire que tel état est colérique, tel autre mélancol
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l’origine cosmique du mal, où se trouve aussi le
remède
. Pour connaître et guérir une maladie, il ne suffit pas de voir l’hom