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ée ? Alors Don Juan serait l’homme de la première
rencontre
, de la plus excitante victoire ? « La nouveauté est le tyran de notre
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isième nuit qui suit la mort terrestre : c’est la
rencontre
de l’âme avec son moi céleste à l’entrée du pont Chinvat. Dans un pay
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use et défigurée qui reflète son état déchu. La «
rencontre
aurorale » avec le moi céleste figure donc une pesée des âmes. Le maz
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du vrai moi dans le mysticisme soufi et même la «
rencontre
aurorale » de l’âme et de sa Dâenâ au pont Chinvat ? Et n’est-ce pas
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p. 73. Je crains que l’auteur ne vienne ici à la
rencontre
des catégories de L’Amour et l’Occident un peu plus qu’il ne serait