1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 dessin se simplifiera jusqu’au schème unique, le rythme se précipitera jusqu’à l’explosion, l’histoire se purifiera jusqu’au
2 Rimbaud, et d’autre part le contraste absolu des rythmes , vont se traduire dans la similitude des conclusions éthiques et dans
2 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
3 e au bon moment ses vérités inactuelles. De là le rythme singulier de sa production ; de là ses nombreux masques et pseudonyme
3 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
4 verbe, désignant ce geste, appelle une phrase, un rythme d’actes concertés. Ainsi l’homme se trouve mis « en communication ave
4 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
5 être à cause du bonheur de notre vie. Trouver son rythme naturel, et les moyens de s’y réduire, voilà le but de toute morale c
6 and fracas de moteurs et de règlements de fer les rythmes de cette île et de ces vies ?   3 avril La solitude est une jeunesse.
5 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
7 u’au moment où l’imagination, ranimant les grands rythmes naturels, libérant les vertus et les vices des entraves du respect hu
8 c le diable, vient mourir dans la nuit de Noël au rythme familier des marteaux de la forge rebâtie. Les Cavaliers, « appelés à
6 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
9 de là vient sa puissance apparente, sa furia, son rythme dionysiaque. ⁂ Or si le don juanisme est une passion de l’esprit et n
7 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
10 concevoir à nouveau, si l’on veut entrer dans ces rythmes , goûter ce vocabulaire, et dégager le pittoresque enfoui sous des ama
11 Dieu », de recenser les objets et les formes, les rythmes et les lois cosmiques, afin de les parfaire par le Verbe et, finaleme
12 otre monde est-il encore formulable en noms et en rythmes  ? La science moderne ne tend-elle point à nous le rendre proprement i
8 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
13 e être défini séparément — style, sujets abordés, rythme , idées ou lyrisme —, mais bien plutôt c’est la complexité secrètement
14 e que celle de l’œuvre : il faudrait s’imposer un rythme égal et sans lacunes, une relation automatique et monotone des petits
9 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
15 des hommes, est née de la même rupture des grands rythmes cosmiques et des fatalités astrologiques, et de la même victoire sur
16 ème de morts et de résurrections dominées par des rythmes et par des archétypes qui s’accordent à ceux de l’âme. Ainsi le rêve
17 tard, au Moyen Âge, la théorie des cycles et des rythmes cosmiques de l’Histoire sera reprise — contre l’esprit des Pères — pa
18 ce qui rend supportable l’idée d’un temps vidé de rythmes et de mythes, c’est la croyance à la Fin imminente : encore « un peu
19 limitée de l’Histoire qui lui permet de rendre un rythme à sa durée. L’apparition du Christ ne marque plus pour lui le commenc