1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 ent-ils de Rimbaud. Peut-être la confrontation du Sage et du Fou — d’un fou qui reste notre intime tentation — permettra-t-e
2 l’amitié du jeune bourgeois de Francfort et de la sage et très fervente Mlle de Klettenberg. Mais bien plus que dans une spi
3 tiques du Second Faust peut aussi faire figure de sage officiel parmi les philistins. Le somnambule est désormais protégé pa
2 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
4 oi, le scandale au sens paulinien, tout ce que le sage jugera toujours « hors de propos » d’envisager. Le sérieux même du ch
3 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
5 ojection du moi individuel ou collectif. Pour les sages de l’Iran, il est ce moi. Barakat, juif passé à l’islam, écrit en 116
6 malentendu fondamental entre les peuples et leurs sages , entre la religion des uns et la métaphysique des autres ? En fait, o
7 physique des autres ? En fait, on ne voit pas les Sages de l’Asie dénoncer sans relâche, comme on pourrait s’y attendre, les
8 poir d’une jouissance est la victime du désir. Le sage accepte les plaisirs sensuels quand ils viennent, mais avec un cœur d
9 actuel tout entier semble résulter — selon leurs sages — d’une gigantesque schizophrénie du Soi. (Mais il sera finalement ré
10 sera tout en tous ». Depuis six millénaires, les sages de l’Asie n’ont pas varié dans leur croyance à la dualité de l’Un et
11 vues des spirituels. Quelle est la vraie ? Si les sages de l’Orient ont raison, personne ne pourra le vérifier à la consommat
12 panishad, au cours des dialogues entre l’illustre sage Yajnavalkya et son épouse Maitreyi, qui l’interroge sur l’immortalité