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t pour m’en parler qu’il m’offrait l’hospitalité.
Saint Paul
reste sa bête noire. Et l’idée même d’orthodoxie. Il nie vivement que
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ent impensable. Et c’est bien dans ces termes que
saint Paul
la présente. Que Dieu se soit manifesté comme une Personne ; par un g
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? « Au monde comme n’étant pas du monde », disait
saint Paul
. Mais l’Histoire absolue veut que l’homme tout entier soit uniquement
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aisonnable et simple exemplaire de l’espèce. Pour
saint Paul
, le vrai moi est l’homme nouveau, « appelé » par un Dieu personnel, d
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s « deux hommes en moi » dont la lutte fait gémir
saint Paul
; mais, préalablement à tout jugement moral, il s’agit de la reconnai
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ux, ou haine de soi. Dans son langage dramatique,
saint Paul
parle parfois de la haine de soi-même, formule reprise au pied de la
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rience du divin, comparons-les aux diatribes d’un
saint Paul
annonçant la « colère de Dieu, révélée du Ciel » contre les « impudiq
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seul en tout. À la consommation des temps, répond
saint Paul
, « Dieu sera tout en tous ». Depuis six millénaires, les sages de l’A
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e vision de sa fin anticipée. La petite phrase de
saint Paul
au début de notre ère, « Dieu tout en tous », d’un seul trait fulgura