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iques du cours des choses humaines ressenti comme
semblable
à celui des saisons, de la végétation ou des étoiles. Et peut-être fa
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re pur. — Ô Nagasena, dis-moi s’il existe rien de
semblable
à l’âme ? — Il n’y a rien de semblable à l’âme.70 » Un texte zen chin
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te rien de semblable à l’âme ? — Il n’y a rien de
semblable
à l’âme.70 » Un texte zen chinois surenchérit : « Y a-t-il un enseign
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imer le prochain : il ne peut voir en lui que son
semblable
— un corps « vil » et une âme qui se veut ange —, non le vrai moi dan
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détruit tout attachement inné ou acquis, pour ses
semblables
…84 » Et le Bouddha lui-même : « Qui a cent sortes d’amours a cent sor