1 Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau ( septembre 1932)g Si dans tous les écrits de notre temps il est question de b

2 mprudence  », La Nouvelle Revue française, Paris, septembre 1932, p. 442-444.

3 Alexandre, par Klaus Mann ( septembre 1932)h Ce n’est pas pour l’amour du laurier, mais pour l’amour de

4 Alexandre  », La Nouvelle Revue française, Paris, septembre 1932, p. 477.

5 Paracelse, par Frédéric Gundolf ( septembre 1935)r Paracelse ne fut pas un mage, ou plutôt si l’on veut qu’il

6 Paracelse  », La Nouvelle Revue française, Paris, septembre 1935, p. 445-448.

7 Recherches philosophiques ( septembre 1935) s Ce recueil annuel n’a jamais mieux mérité son titre. Je ve

8 sophiques  », La Nouvelle Revue française, Paris, septembre 1935, p. 460-462.

9 le Paracelse de Frédéric Gundolf, dans la NRF de septembre 1935.

10 xigences allemandes. Et c’est pourquoi, lorsqu’en septembre 1938, l’Allemagne appuya sa revendication de menaces militaires, les

11 France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt ( septembre 1939)aq Ronsard évoquant les démons, Maurice Scève spéculant sur l

12 Ie siècle  », La Nouvelle Revue française, Paris, septembre 1939, p. 486-488.