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l est, ce petit volume nous offre un jeu serré et
subtil
, et dont le spectacle n’est pas vain. M. Schmidt ne s’en laisse point
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n que ce n’ait été qu’au profit d’une erreur plus
subtile
. 2. Parce qu’on a traduit la Maladie à la mort sous le titre de Trait
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lets s’harmonise avec chaque façade d’une manière
subtile
et précise qui en dit long sur l’âme de ce peuple discret. C’est l’im
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osante. Et nous les voyons différer d’une manière
subtile
mais précise par la forme des rapports qu’elles imaginent entre le mo