1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 me de la réalité dans une conscience occidentale. Supprimez l’un des termes, et la vie se détend, le tragique s’évanouit. Que ce
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
2  choix » ou du « dépassement », cette vertu qui «  supprime la morale », Jouhandeau l’appelle imprudence ou générosité. Et ces mo
3 . Le contraire d’un péché, c’est-à-dire ce qui le supprime , ce n’est pas une vertu, mais le pardon. La vertu comme le vice naît
3 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
4 s sa durée propre, comme un 3e terme, en réalité, supprime l’un des deux premiers termes. Ainsi des conflits individu-société, p
4 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
5 out de même aller un peu loin, puisque ainsi l’on supprime la notion même d’intéressant. Donc Cingria défend une thèse : « Je m’
5 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
6 corruption secrète de cet art trop parfait, « qui supprime les plus angoissants problèmes, à force de les éclaircir », et l’impu
6 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
7 iberté condamne la dictature, mais dès qu’elle la supprime pratiquement, elle perd tout point d’appui, son élan meurt en anarchi
7 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
8 ni l’objet ni la personne. Le même commente : «  Supprimer la personne et sauver l’objet signifie éliminer le questionneur, non