1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 concerne les fins les plus hautes de l’existence terrestre . « Un fait de notre vie ne vaut pas en tant qu’il est vrai, mais en t
2 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
2 u’il veut porter l’empreinte de certains intérêts terrestres , et le méprise en tant qu’il cherche à s’affranchir de ce genre de pr
3 a jamais « porté l’empreinte de certains intérêts terrestres  », et conséquemment, si l’on a le droit d’opposer esprit pur à esprit
3 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
4 ntervenait par de libres actions dans l’existence terrestre du peuple élu : dès lors, celle-ci ne dépendait plus des astres ni d’
4 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
5 it à l’aube de la troisième nuit qui suit la mort terrestre  : c’est la rencontre de l’âme avec son moi céleste à l’entrée du pont
6 it lui demandait seulement d’ordonner tout le moi terrestre et temporel à la vocation de l’amour. Mais celui qui se hait de cette
7 mour tend à la transfiguration de la figure aimée terrestre , en l’adossant à une lumière qui en fasse éclore toutes les virtualit
8 surnaturel (ou monde céleste) et dans le sensible terrestre , la structure des relations entre Dieu, le vrai moi et le prochain, r