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concerne les fins les plus hautes de l’existence
terrestre
. « Un fait de notre vie ne vaut pas en tant qu’il est vrai, mais en t
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u’il veut porter l’empreinte de certains intérêts
terrestres
, et le méprise en tant qu’il cherche à s’affranchir de ce genre de pr
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a jamais « porté l’empreinte de certains intérêts
terrestres
», et conséquemment, si l’on a le droit d’opposer esprit pur à esprit
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ntervenait par de libres actions dans l’existence
terrestre
du peuple élu : dès lors, celle-ci ne dépendait plus des astres ni d’
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it à l’aube de la troisième nuit qui suit la mort
terrestre
: c’est la rencontre de l’âme avec son moi céleste à l’entrée du pont
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it lui demandait seulement d’ordonner tout le moi
terrestre
et temporel à la vocation de l’amour. Mais celui qui se hait de cette
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mour tend à la transfiguration de la figure aimée
terrestre
, en l’adossant à une lumière qui en fasse éclore toutes les virtualit
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surnaturel (ou monde céleste) et dans le sensible
terrestre
, la structure des relations entre Dieu, le vrai moi et le prochain, r