1 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
1 otion même d’intéressant. Donc Cingria défend une thèse  : « Je m’appliquerai à désassocier et à mettre en face de lui-même le
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
2 e pourrait d’ailleurs que l’apparence brutale des thèses personnalistes soit le fait, provisoire, de toute philosophie naissan
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
3 ans le faux et tout y est correct : je dis que la thèse que je défends est vraie !… Il y aurait de quoi s’arrêter de penser,
4 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
4 des conséquences fausses de faits « prouvés ». La thèse peut se discuter. L’illustration m’en paraît convaincante. « Le grand
5 e la victoire le condamne. Je simplifie encore la thèse  : Napoléon gagne Waterloo parce qu’il retrouve le « personnalisme » m
6 bry, pour leur arracher des aveux à l’appui de la thèse d’Aron. 50. Jean-Paul rapporte un rêve où il disait à Napoléon : «