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ur eux — mais la biblique, qui est vivante. Ainsi
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parlent un même langage, qu’ils l’inscrivent sur le papier ou dans la
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être un jour sortira le peuple-poète, « le peuple
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en un ». Mais son œuvre est bien au-delà de l’ère machiniste que trav
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avance dès le matin à travers le pays, et offre à
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la Parole, « ayant l’aspect d’une brochure à couverture bleue », où l
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Fin des Temps est proche, il faut en témoigner. À
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il tend la Parole « morte aux pages », mais voici que de toutes parts
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dans l’harmonie de sons, mais bien dans la pesée.
Tous
les procédés ramuziens, juxtapositions brutales, interférences du réc
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crise apparaît ainsi manifeste : un jugement sur
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les plans, financier, commercial, éthique et spirituel. Que les échan
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l’être dans la mesure seulement où il portait en
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les domaines de son activité une application volontaire et soutenue.
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sse devant le mortel danger qui se lève à un pas.
Tous
deux réalisent le renoncement, le deuxième temps de cette dialectique
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sa violence rend unique : c’est qu’ils reviennent
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deux de loin, d’un long abandon à l’erreur. Goethe n’a pas connu de t
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quelque chose ici-bas, et qui par conséquent doit
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les jours travailler, combattre, agir, laisse en paix le monde futur
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on hors du réel. En cela il est romantique, comme
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ceux que leur violence et leur faiblesse précipitent vers des portes
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ait l’entendre, que l’imprécation de Rimbaud : et
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deux nous contraignent aux tâches immédiates, c’est-à-dire : à l’actu
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ar Marcel Jouhandeau (septembre 1932)g Si dans
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les écrits de notre temps il est question de bien, de mal, de vice et
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est là qu’éclate la violence des contraires. Pour
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ceux qui ont l’audace de se maintenir dans une telle dialectique, il
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s sont communs… Déjà s’affirme dans l’attitude de
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ces groupes un véritable acte de présence à la misère du siècle, asse
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t originales18, ne peuvent manquer de déconcerter
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ceux qui n’imaginent de choix possible qu’entre un capitalisme plus o
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nces fréquentes dans les problèmes du temps et de
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les temps : la musique occidentale, les méfaits de Cicéron, le commer
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je ne parle pas que de moi, parce que nous sommes
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mal faits. » On n’attendait pas de Ramuz un examen de conscience. S’i
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n d’Être, voici encore un essai de Ramuz, mais de
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le moins ramuzien : il s’agit cette fois d’idées, et même d’idées gén
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ement qu’elles sont vraies pour eux-mêmes et pour
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ceux de leur espèce. On ne calcule pas avec la vie, mais avec des qua
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Ramuz paraît assez voisine de celle de Berdiaev.
Tous
deux considèrent le marxisme comme l’aboutissement logique de l’espri
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sement logique de l’esprit bourgeois-capitaliste.
Tous
deux savent qu’il faut être pour Dieu ou contre Dieu. La bourgeoisie
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ce qu’on pourrait appeler la vision métaphysique.
Tous
les efforts des hommes — y compris les philosophes — consistent peut-
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rche de secrets qu’il voulait rendre manifestes à
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, et qu’il exprimait, comme Luther, dans un allemand populaire et gros
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Votre Esculape, votre Avicenne et votre Galien et
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vos scribouillards (Scribenten) je les dissoudrai dans de l’Alkali !…
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ur fait preuve dans l’attaque d’un problème entre
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urgent. Il se pourrait d’ailleurs que l’apparence brutale des thèses
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s qu’une épigraphe, qui conviendrait d’ailleurs à
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ses livres : ut evacuata sit crux. x. Rougemont Denis de, « Sur l’
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i tranche sur le verbiage technico-humanitaire de
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nos fabricants de « plans d’urgence ». Précision qui d’ailleurs n’exc
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itique de tyrannie exercée par un seul homme dans
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les domaines. 37. Particulièrement efficace dans la polémique : voir
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scours traduits par M. Paul Tisseau en reviennent
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à la même question, qui est celle du sérieux dernier, de la prise au
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doxe de la vie et de la mort du Christ, jette sur
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nos sérieux, poses et amusettes, une ironie, ou ce qui est pire, un s
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lus rien n’avance, c’est un sur-place exaspérant,
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les moteurs sont débrayés) ce sens partout évanouissant n’en est pas
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n à l’unité »), la plénitude, le rassemblement de
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les êtres, le branle-bas de toute la création vers son achèvement int
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’est la plus forte évaluation, et ils ne sont pas
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aussi chers, comme on sait mais enfin, il y aurait encore moitié à ga
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soit cette analyse — et si utile sa lecture pour
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les possédants chrétiens — elle ne revêt sa signification totale que
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lauriers épais. De hauts murs blancs enclosent de
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côtés ce jardin de curé, qui a juste la largeur de la maison. On ne v
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eilleuse bibliothèque que celle qui rassemblerait
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les ouvrages analogues que, dans chaque sous-préfecture, un vieux doc
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udrais le dessiner dans le style romantique, avec
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ses détails et toute son opulence, frisé comme une perruque du grand
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esprit d’abstraction égoïste dont nous souffrons
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? Pourquoi les hommes vivent-ils sur des îles ? Quand nous sortons po
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e. Elle nous met à l’abri du monde et nous ramène
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physiquement à nos limites. Mais l’homme est ainsi fait qu’il désire
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tout simplement jeune devant un présent ouvert de
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côtés… Une seule vertu peut alors nous sauver de cette tentation du d
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le crépitement sous nos pas fait fuir et choir de
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côtés de petits crabes. Des ruisseaux, des rivières impétueuses parco
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ans que le peuple suédois est son propre maître.
Tous
les Suédois, hommes et femmes, jouissent des mêmes droits politiques.
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tenues, coïncidences, catastrophes naturelles, et
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les emplois de la fable suédoise : trolls, sorcières, belles jeunes f
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ant cette œuvre au public français. Vous en ferez
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autant en lisant ce livre, en le faisant lire. Et vous ferez quelque
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de Minkowski. « Cette façon d’ergoter qu’ils ont
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! », gémit Alice, constamment réfutée par un formalisme délirant. Le
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tes les jolies femmes peuvent exercer sur presque
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les hommes, n’évoque pas une idée de santé. Mais dans cette furie ins
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s savamment prémédité de M. Albert-Marie Schmidt.
Tous
ces poètes ont l’air plus authentiques que ceux que nous pensions con
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’autres, cet inventaire de la Création embrassant
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les arts et les métiers humains, de la magie cérémonielle à l’anatomi
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le Verbe et, finalement, de s’en rendre maîtres.
Tous
sont soutenus par une double croyance dans le pouvoir magique du lang
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e nuit l’annonce à l’autre. Cette parole traverse
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les climats, jusqu’aux confins du monde, et l’on perçoit sa voix dans
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ls, d’où le danger de didactisme que nous courons
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plus ou moins. À cet égard, il m’apparaît que la leçon de Gide, pour
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otestants ! » Le mot ne manque pas de pertinence.
Tous
les matins, vers onze heures, il viendra entrouvrir la porte capitonn
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le seul être, dit-il, que j’ai vraiment aimé » —
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ces passages ont été coupés. On les lira plus tard. Il les a recopiés
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studio me restera ouvert ; que j’y vienne prendre
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les livres dont je pourrais avoir besoin… Dès le lendemain, j’y pénèt
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phique, moins encore par un consensus délibéré de
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ses peuples, ou par quelque essence éternelle, comme on l’a cru de l’
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t le Grand, Thomas d’Aquin, Dante, Roger Bacon et
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les astrologues, qui vont devenir avec Kepler les astronomes. La conc
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t sans précédent archétypique — est la terreur de
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les « Moyen Âge ». Quand elle survient, quand on se voit contraint d’
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il doit en résulter d’infinies conséquences dans
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les domaines du réel, du spirituel au politique ; mais dans quelle me
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neux a lui-même la sienne63. La Terre physique et
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les êtres qui l’habitent apparaissent ainsi comme la contrepartie vis
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la Lumière-de-Gloire restituant toutes choses et
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les êtres dans leur pureté paradisiaque, « dans un décor de montagnes
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e l’Europe, mais s’il est une croyance qu’ils ont
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en commun c’est la croyance à la métempsycose, à la transmigration de
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pe obscurcissante d’une âme divine. Ainsi parlent
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les upanishads, et les premiers écrits canoniques du bouddhisme : il
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soi-même, sans lequel point d’amour du prochain.
Tous
les moralistes du monde s’accordent avec les spirituels dans leur con
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oi-même, formule reprise au pied de la lettre par
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les spirituels de tendance ascétique, avec une complaisance croissant
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ymbolisme concret des soufis transpose doublement
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les termes à la fois dans le surnaturel (ou monde céleste) et dans le
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Soi tout impersonnel : « Il n’est qu’un Soi pour
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les êtres.82 » L’individualité qui est là, qui tombe sous le sens, do
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tre les « impudiques » et les « infâmes », contre
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ceux « qui se sont livrés à l’impureté, selon les convoitises de leur
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prochain, sont des problèmes occidentaux, posés à
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par les rigueurs mal tolérées de dogmes et de doctrines impératives,
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ux qui me calomnient, me nuisent, me raillent, et
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les autres, obtiennent l’illumination spirituelle », dit Shantideva.
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un monde ou l’autre : l’Occidental ou l’Oriental.
Tous
les risques d’erreur sont de notre côté, nous les payons par les névr
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le Tout. Mais le Tout est le contraire du drame.
Tous
les risques d’erreur sont liés à notre amour ; et plus l’amour est pa
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-être à ses dépens, est-ce notre anima projetée ?
Tous
les psychanalystes nous l’ont dit : l’erreur sur la personne de l’êtr
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elle, et les dieux mêmes me serviront. Tout et
tous
L’Orient voudrait exténuer, « émacier le réel tangible »93, pour r
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des temps, répond saint Paul, « Dieu sera tout en
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». Depuis six millénaires, les sages de l’Asie n’ont pas varié dans l
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saint Paul au début de notre ère, « Dieu tout en
tous
», d’un seul trait fulgurant décrit cette fin. Dès lors, au duel de l