1
e philosophie de l’existence personnelle qu’avant
tout
nous avons besoin. Kierkegaard nous en propose le type le plus effica
2
le de Kierkegaard, sa pensée paraît réfractaire à
toute
description, car elle opère sur des mythes concrets plutôt que sur de
3
andeur parce qu’il possède la mesure au sein d’un
tout
fini : famille, dieux, nature. Il ne se recherche pas soi-même, il vi
4
s idées et des combinaisons d’idées mais créer de
tout
son être spirituel des faits nouveaux et vrais, dans un certain style
5
plexe. (« … les bavards ne tirent pas d’eux-mêmes
toutes
les paroles qu’ils profèrent ; ils les reçoivent des prophètes ; s’il
6
èmes dans nos catégories psychologiques. Il prend
tout
par des biais qui nous sont peu familiers. Et puis enfin, voilà une p
7
ah est donc un recueil de contes romantiques, cas
tout
à fait rare dans la littérature française, et qui comporte en soi que
8
important d’un tel livre me paraît résider avant
tout
dans l’ordre des faits qu’il met en jeu, dans la problématique qu’il
9
n un peu forcée que le cœur s’accorde en dépit de
tout
, tandis que l’esprit demeure évasif et lucide devant les conditions q
10
le complaisance qui les faisait éviter d’instinct
tout
point de vue pratiquement bouleversant ? D’autre part, n’est-ce point
11
urgeoisie à laquelle il échappe entièrement et de
toute
façon, n’étant pas même révolutionnaire, parce que trop radical, trop
12
lles tenaient trop de terre embrassée et par elle
tout
un pays et son peuple ; car « c’est ici le pays de la solidité, parce
13
rce que c’est le pays des ressemblances. Regarde,
tout
y tient ensemble fortement, comme dans le tableau d’un grand peintre
14
ne les retrouve que chez Ramuz. Mais purifiés de
toute
brutalité, de ces traits forcenés, de ces ricanements d’intellectuels
15
ar sa simplicité même, le met en valeur mieux que
tout
autre récit de Ramuz. Voici Caille, le colporteur biblique, qui s’ava
16
entièrement « autorisé ». Art, on le sait, avant
tout
visuel, qui rend les choses à l’état naissant, rugueux, décapé de tou
17
les choses à l’état naissant, rugueux, décapé de
toute
rhétorique5 et de toute explication intellectuelle, atteignant par la
18
ssant, rugueux, décapé de toute rhétorique5 et de
toute
explication intellectuelle, atteignant par la une unité de style tell
19
; mais un moyen de rendre plus totale la vision.
Tout
, par ailleurs, indique chez Ramuz la volonté de ne pas faire prendre
20
e autre, ni certain aspect usuel de la chose pour
toute
la chose. C’est pourquoi il s’attarde à décrire le concret d’une faço
21
nque d’ironie, la bonhomie sérieuse, l’absence de
toute
complaisance à soi. Certes, j’en vois les défauts, le poncif ; ces dé
22
simples. Mais il faut dire maintenant l’actualité
tout
à fait singulière d’un tel livre. Il y a des sujets éternels, ou mieu
23
evient visible. Ce sont les périodes de crise. Or
toute
crise est un jugement6, — un « arrêt dans une forme ». Cela se voit p
24
ment mystérieux de la forme mythique, le poète en
tout
temps a le pouvoir de le susciter dans son œuvre, comme le mystique d
25
ur le peuple qu’elle prétend « observer ». 5. De
tout
bel canto, peut-on dire. C’est le ton de la musique de Stravinsky, du
26
6. S’il est vrai, comme l’a montré M. Spaïer, que
toute
pensée est judicatoire, le fait même de penser devient fauteur de cri
27
temps, mais, la fièvre tombée, poursuivra durant
toute
sa vie une « activité littéraire ». Ces deux expériences seraient ant
28
voudrait que l’on considère ces deux hommes avant
tout
comme des écrivains ? C’est par la chose écrite, par la lettre justem
29
deux expériences, à mesure qu’on les abstrait de
toute
la littérature dont elles enveloppèrent leurs manifestations, — à quo
30
ation et me persuade de son intérêt humain. Et si
tout
cela reste absurde aux yeux de ceux pour qui seule compte certaine «
31
» comme parle Jérôme Cardan, l’on en trouve dans
toutes
ses œuvres assez de signes irrévocables pour n’avoir plus besoin de s
32
té facilement épurée, le mysticisme de celui qui,
tout
enfant, édifiait un autel à la Nature, trouvait son aliment dans une
33
humain. Incident décisif qui figure en raccourci
tout
le drame dialectique de sa vie. Mais cette maladie, et la convalescen
34
gie domptée ; conçue sous de tels auspices, c’est
tout
naturellement que la littérature prendra plus tard chez Goethe l’allu
35
a maintenant le renouveler perpétuellement durant
toute
sa vie. Et comprendre, éprouver jusqu’à la souffrance — qui est la «
36
D’ailleurs, l’alternance des trois états, visible
tout
au long de l’œuvre, prouve que la question se pose sans cesse à nouve
37
e des dieux et m’y égaler… combien je dois expier
tout
cela ! » Faust se reprend au seuil de la mort. Mais la vie ne lui ser
38
wärs der Mühe wert, ein Mensch zu sein.9 C’est
tout
le drame secret de l’œuvre qui s’avoue dans ce cri : chaque fois que
39
orie sacrée de l’humain, comprenons qu’il y va de
tout
. Mais les anges enfin élèvent Faust au-dessus de cette agonie symboli
40
ent Faust au-dessus de cette agonie symbolique de
toute
son existence, et c’est leur chœur qui chante une dernière fois la lo
41
ne dans la vie d’un être jeune et libre encore de
toute
contrainte sociale, culturelle, voire physiologique ; le dessin se si
42
i ! moi qui me suis dit mage ou ange, dispensé de
toute
morale, je suis rendu au sol, avec un devoir à chercher et la réalité
43
es Illuminations qu’il peut renoncer violemment à
tout
un monde faux pour en créer un autre. Sa vie en Afrique est un second
44
e est un second renoncement. Nous aurions combiné
tout
cela avec de la littérature. Car il n’est pas donné à beaucoup d’homm
45
es façons que la distraction souveraine d’une âme
tout
occupée à dompter ses dieux. Une haute menace, invisible à tout autre
46
dompter ses dieux. Une haute menace, invisible à
tout
autre, l’accompagne sans trêve, et c’est d’elle qu’il tire ses forces
47
llé jusqu’à la délivrance consciente. Il y a dans
tout
désespoir à la fois l’angoisse de la catastrophe et la secrète, l’ina
48
, et résulte de la définition même d’un tel yoga.
Tout
savoir doit être confirmé par un faire, qui le tait et l’exprime à la
49
s seront toujours là pour diffuser leur éclat sur
tout
ce que nous ferons, comme la douce lumière d’un soleil caché14. » Écr
50
e la douce lumière d’un soleil caché14. » Écrire,
tout
en se taisant. Et ceux-là seuls entendront ce silence, qui auront su
51
livre à l’expérience spirituelle, où il se livre
tout
entier. Et c’est là sa pureté, mais c’est aussi ce qui l’accule en fi
52
fine, sed nunc stans). Elle veut cette vie-ci. Et
tout
le reste, qu’elle soit marxiste ou nietzschéenne, elle l’appelle « l’
53
ue dans nos admirations, nous pressent d’affecter
toute
chose, même spirituelle, d’une sorte de coefficient d’utilité. En ce
54
je pouvais écarter la magie de mon chemin Oublier
tout
à fait les formules d’enchaînement Si j’étais devant toi, ô nature un
55
nconsciemment matérialiste qui permet et favorise
tout
ce dont il s’indigne, conception à laquelle, par ailleurs, M. Duhamel
56
ou de hoquets publicitaires. “De la musique avant
toute
chose…” Oh ! vous ne diriez plus cela, Verlaine ! » (page 16). 17. «
57
me des rats qui courent ». — « On est des pauvres
tout
petits chiens qu’on habite tout par dehors et que personne s’occupe »
58
n est des pauvres tout petits chiens qu’on habite
tout
par dehors et que personne s’occupe ». Dès la seconde page, c’est à p
59
décider que ceux qui n’aimeront pas sont fermés à
toute
poésie à l’état sauvage — la vraie. f. Rougemont Denis de, « [Comp
60
stant de l’existence le mal et le bien conservent
toutes
leurs chances d’être préférés, et toutes leurs tentations. En sorte q
61
nservent toutes leurs chances d’être préférés, et
toutes
leurs tentations. En sorte que l’apologie de l’un évoque la grandeur
62
os de l’Amateur d’imprudence incarnèrent ailleurs
toutes
les complexités. Il s’agit, on le sait, du bien et du mal selon l’Égl
63
alité essentiellement différente et qui enveloppe
tout
ensemble les catégories du bien et du mal : le péché. Le contraire d’
64
fus devant la consternante misère d’une époque où
tout
ce qu’un homme peut aimer et vouloir se trouve coupé de son origine v
65
ans cette vue qu’ont été réunies — rapidement car
tout
nous presse — les déclarations que l’on va lire. i. Rougemont Deni
66
ulons rendre inconfortable, inadmissible, et dans
toute
l’urgence du terme : actuelle. Il y va de la qualité même de notre vi
67
ns qu’on nous propose d’urgence, il est clair que
toute
impartialité serait hypocrisie, refus. Qu’on trouve donc ici une pris
68
, le conflit de vivre, le paradoxe fondamental de
toute
« existence » se concrétise dans une « nécessité » révolutionnaire do
69
eux, la masse des braves gens persuadés qu’après
tout
ça va se remettre, ça va durer, puisque ça dure depuis si longtemps.
70
quoi vous fâcher, braves gens, vous n’aviez après
tout
rien de mieux à faire. Et vous pensiez que la révolution, c’était une
71
te « raison » déjà qui se trouvait à l’origine de
tout
le mal ? Telles sont les composantes de notre situation. Nous somme
72
visagent la menace et contre-attaquent. Et alors,
toute
une jeunesse va se dresser ? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie
73
u’une réalisation épurée, tyrannique et privée de
toute
résistance interne, de cela justement que dans le désordre régnant, n
74
t que dans le désordre régnant, nous détestons de
toute
la force de notre âme : la primauté du matériel. Comment penser — si
75
n Russie c’est en train de marcher. Nous jouerons
tout
sur une révolution vraie. Les catastrophes sont proches. Nous ne somm
76
quer et qui consisterait à se laisser convaincre…
Tout
les y pousse, et l’on se demande en vain quelle idéologie les empêche
77
re sang. Il y a une vérité qui domine et condamne
tout
cela. Entre le communisme et la révolution personnaliste, l’oppositio
78
ium chrétien. Les autres, avec Proudhon, refusent
toute
synthèse, toute solution mécanique du conflit nécessaire et vital. Il
79
s autres, avec Proudhon, refusent toute synthèse,
toute
solution mécanique du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de tr
80
ablement l’élément décisif de la réalité humaine,
toute
révolution est vaine qui se fonde sur des faits mortels pour la perso
81
s moins « mécanistes » ; théorie qui ôte à l’acte
toute
efficacité créatrice et par là même doit être dénoncée comme antirévo
82
déroulement indéfini de changements, justiciables
tout
au plus de la statistique. ⁂ Mais les marxistes répugnent à nous suiv
83
unisme purement tactique, d’allure électorale ? «
Toutes
les tentatives qui ne se fondent pas sur la classe révolutionnaire ne
84
nt 200. En octobre, ils s’emparent du pouvoir sur
toutes
les Russies. En 1932 le parti compte deux millions de membres sévèrem
85
e serait un acte enfin dans lequel je posséderais
toute
ma vie, d’un seul coup éclatant. Je n’ai pas à sauver quoi que ce soi
86
d’entrer dans l’Ordre de la Pauvreté, qui vaincra
toutes
les révolutions — après les avoir faites. 18. En Allemagne, un grou
87
pitaliste et non marxiste surgit, s’affirme. 19.
Toute
solution systématique du vrai conflit nécessité-liberté dans la mesur
88
t de l’Allemagne : voici un pays enfin qui réunit
toutes
les conditions théoriques prévues par Marx pour qu’une révolution écl
89
même temps le restaurateur du cicéronianisme dans
tout
ce que l’officialité moderne en représente — l’éloquence, l’érudition
90
e à passer pour macaronique — comme elles le sont
toutes
, d’ailleurs, mais ridiculement quand elles ne l’avouent pas — se veut
91
euse qu’elle atteint à coup sûr le particulier de
tout
ce qu’elle aborde au cours de ses démonstrations : c’est dire qu’elle
92
hes sont calculées jusqu’à restituer le naturel —
tout
cela sans effort, manifestant plutôt cette vivacité d’invention dont
93
lus directe qu’ailleurs, sa pensée ; on y voit de
tout
près, dans l’intimité d’une chambre, comment sa pensée marche, insist
94
s de son éthique. Certes, il en fait valoir ainsi
toutes
les nuances, avec un art égal à son modèle. On voudrait pourtant qu’i
95
, et le même parti pris de bonne humeur héroïque.
Tout
ce qu’il faut pour entraîner l’adolescence avide de servir une grande
96
Voici l’histoire en bref, — non pas l’intrigue !
tout
cela est propre. Le jeune Kolka, prolétaire de bonne souche, part pou
97
esse fruste, innocente jusque dans ses cruautés ;
tout
jugement serait ici mesquin, on l’accordera volontiers à l’auteur. Eh
98
gination. Le prochain plan y pourvoira peut-être.
Tout
cela est en pleine métamorphose. Mais voici un fait plus inquiétant :
99
— indissolubles —, on est une objection vivante à
tout
individualisme, à tout communisme, à tout « isme ». Quand on est à ce
100
st une objection vivante à tout individualisme, à
tout
communisme, à tout « isme ». Quand on est à ce point possédé par la v
101
vante à tout individualisme, à tout communisme, à
tout
« isme ». Quand on est à ce point possédé par la vie des choses et de
102
té. Une œuvre comme Adam et Ève nous le fait voir
tout
aussi bien que cet essai : Ramuz est présent à ce monde, — eux, ils e
103
la Nature ? Mode bourgeoise, tyrannie décadente,
tout
occupée à calculer sa propre mort. Mais Ramuz n’est pas un bourgeois.
104
à peine anticipée peut-être. Mais ils se trompent
tout
à fait quand ils se croient matérialistes28. Ils détestent la matière
105
struses de cette fameuse « matière » sur laquelle
tout
se fonde, que Staline s’est vu contraint, pour en finir, de fixer la
106
anscendance. C’est là le point de la rupture avec
tout
humanisme imaginable (l’homme sauvé par son progrès). 27. Pas la Na
107
absurdité réelle, en même temps qu’il se refuse à
toute
interprétation, c’est-à-dire à toutes les conventions inventées par l
108
se refuse à toute interprétation, c’est-à-dire à
toutes
les conventions inventées par les hommes pour étouffer le scandale. J
109
té pour le savoir. Puis, on le rend à la liberté.
Toute
l’histoire sera celle, non pas du procès, qui n’a jamais lieu, mais d
110
r. C’est ainsi une suspension du jugement qui est
tout
le drame du Procès. Constatation de la réalité telle qu’elle est, et
111
volte point, constatation de la vanité absolue de
toute
appréciation, de toute prise de parti, — de tout acte. C’est ce qu’on
112
on de la vanité absolue de toute appréciation, de
toute
prise de parti, — de tout acte. C’est ce qu’on pourrait appeler la vi
113
toute appréciation, de toute prise de parti, — de
tout
acte. C’est ce qu’on pourrait appeler la vision métaphysique. Tous le
114
si la théologie chrétienne rend compte de presque
toutes
les situations de ce livre ? Cette Loi qui nous condamne quoi que nou
115
s prévenus en liberté, cette complicité générale,
tout
cela, ce n’est pas la « misère de l’homme sans Dieu », mais la misère
116
accepte l’idée d’une dictature… « antifasciste ».
Tout
cela se joue sur des mots, et ces mots ne traduisent que des religion
117
t la droite, quand elle se proclame « nationale »
tout
en restant capitaliste.) Défendre la culture, ce serait d’abord rendr
118
és un sens commun. Mais il me semble qu’on a fait
tout
autre chose, au Palais de la Mutualité. Il me semble qu’on s’est ente
119
, est un mage, il ne fut pas un magicien. Il erra
toute
sa vie, d’auberges en universités, suivi d’une troupe de disciples tu
120
crottin de cheval, et de faire subir à son corps
toute
la gamme des combinaisons alchimiques afin de ressusciter ensuite sou
121
hosé en bel adolescent, le crâne seul n’avait pas
tout
à fait repoussé. Un peu d’air pénétra dans le cerveau et Paracelse du
122
ciences fondamentales qui doivent donner le ton à
toutes
les autres, et qui sont, comme nul ne l’ignore ou ne pourra l’ignorer
123
logie et la théologie. Un grand souci paraît dans
toute
son œuvre : il veut être clair, et utile. Clair ne signifie pas ratio
124
ent cette fringale d’expérience qu’il promena par
toute
l’Europe, et peut-être même chez les Turcs, le rendit attentif à tant
125
abondamment fournis : d’un attirail de concepts à
tout
faire31. Il faut voir comme il se débat avec son latin de cuisine, so
126
le, aux techniciens de la dissection dont descend
toute
la science du xixe , et qui nous ont conduits à considérer notre corp
127
Dr Allendy dans l’Essai sur la guérison, ouvrage
tout
imprégné de l’esprit vitaliste de Paracelse, brève synthèse des idées
128
hèses personnalistes soit le fait, provisoire, de
toute
philosophie naissante qui prétend restituer aux mots leur pouvoir pra
129
de plus en plus nettement que les prolégomènes à
toute
action réelle résident dans la restauration d’un langage efficace. C’
130
nalyser aussi les trois pages où Jean Wahl résume
tout
le vertige ontologique, et l’article de G. Stern sur l’a posteriori,
131
sées de Mabel Dodge. Il parvient à ne rien cacher
tout
en restant d’une exacte pudeur. Mais enfin, c’est tout de même pour L
132
mexicain (c’est à Lawrence que Brett dit « vous »
tout
le long du livre) : Jour de lessive ; à nouveau Frieda barbote avec
133
qui bouleverse Tony et vous bouleverse au-delà de
toute
expression. Vous êtes très peiné, et je dis, moi, qu’on ne devrait pa
134
ais à les frotter. Après le plancher vous brossez
tout
ce qui vous tombe sous la main et vous lavez des choses toute la jour
135
vous tombe sous la main et vous lavez des choses
toute
la journée. À cinq heures nous allons chercher les chevaux qui se cac
136
s nous allons chercher les chevaux qui se cachent
tout
au bout du champ de pommes de terre, là-bas près de la barrière sud.
137
ar hasard dans cette page, et qu’on retrouve dans
toutes
les autres, c’est la mauvaise humeur des Lawrence, leur humeur rageus
138
res » qu’ils ne sont. En somme, bien qu’il prêche
tout
le temps, il attend des autres beaucoup plus qu’il n’est disposé à le
139
n meilleur prétexte à fuir les hommes. Mais après
tout
, qui donc vint à son aide, à lui ? Il n’avait que la nature, les bête
140
nieuse. D’où son amour des travaux manuels. Comme
tout
cela est rafraîchissant, satisfaisant, fidèle et pur. Notez aussi cet
141
it furieusement, il les approche avec méfiance et
tout
d’un coup les pousse par-derrière, et rit. C’est un long enfant maigr
142
e mieux que l’étroitesse positiviste, qui réduira
tout
cela au jeu des complexes freudiens ? Tout dépend de ce que l’on atte
143
éduira tout cela au jeu des complexes freudiens ?
Tout
dépend de ce que l’on attend de l’homme et de son esprit : la puissan
144
’Éternel dans ce temps. Cette définition condamne
tout
mysticisme qui ne serait, comme le veut M. Chuzeville, que la « reche
145
huzeville de nous avoir ouvert par son anthologie
tout
un monde spirituel et poétique plein de dangereuses merveilles. Le ch
146
e et la doctrine du jeune Marx, on ne voit pas du
tout
le passage de Luther à Boehme, ce défenseur du libre arbitre persécut
147
u 31 juillet). On dirait une « histoire idiote ».
Tout
y est faux. C’est incroyable à quel point cela ressemble à la plupart
148
dire simplement : j’aime mon pays. L’amour exclut
toute
comparaison. Dire que tel pays « est le plus beau du monde », ce n’es
149
s plus de beauté que dans tel et tel autre. C’est
tout
au contraire exprimer un refus pur et simple de comparer. C’est affir
150
ranchir de ce genre de pression pour s’exercer en
toute
liberté. » Il écrit un peu plus loin qu’il déplore la disparition « d
151
ron unit ces deux vertus, par une sorte d’ellipse
tout
à fait révélatrice du mouvement de sa pensée, et à certains égards, d
152
s dès qu’elle la supprime pratiquement, elle perd
tout
point d’appui, son élan meurt en anarchie. La solution de ce conflit
153
e — mais c’est admettre la révolution — se posent
toutes
les questions « pratiques » ; celles qui passionnent les hommes d’act
154
alcul s’opposera à son intrusion. Comme le prouve
toute
l’histoire moderne, qui est celle des révolutions étranglées par l’Ét
155
ette dernière « tension », à laquelle se ramènent
toutes
les autres, est en train de devenir une sorte de pont aux ânes de nos
156
nières « attaques contre la chrétienté établie ».
Toute
une carrière de poète et de philosophe « à orientation religieuse » a
157
cette œuvre entièrement commandée par son terme,
tout
en taisant ou niant ce terme, cela revient littéralement à priver l’œ
158
l’œuvre, et ces fragments qu’on nous en donne, de
toute
espèce de sens réel, — par quoi j’entends d’orientation intime, de fi
159
le chemin de la vie, et cela, sans déclarer avec
toute
l’instance que requérait une opération aussi risquée, que ces fragmen
160
e faut de la force et du talent. Qu’arrive-t-il ?
Tout
simplement ceci : l’époque s’engoue de tes discours et tu deviens son
161
angea de direction » et révéla le sens dernier de
toute
son œuvre. Il est juste que ce destin se répète aujourd’hui parmi nou
162
ur, à Bazoges-en-Pareds », dans une petite ferme,
tout
au fond du bocage vendéen, pays de secrets obstinés, de voies retorse
163
manière totale et unique que ce qui est vrai. Car
tout
ce qui n’est pas vrai comporte en soi une division et divise la volon
164
ois pour ma part qu’un seul moyen de s’engager de
toute
sa personne à la suite de Kierkegaard… Tout le reste est littérature,
165
r de toute sa personne à la suite de Kierkegaard…
Tout
le reste est littérature, « littérature kierkegaardienne » évidemment
166
endre au sérieux que le sérieux, que la personne,
tout
le reste peut devenir l’objet de notre jeu. » p. 26. z. Rougemont D
167
x, l’on nourrit une paix sans racines. (Alors que
toute
communauté réelle naît d’une entente passionnée sur le sens de certai
168
rassemblement de tous les êtres, le branle-bas de
toute
la création vers son achèvement intelligible, c’est là vraiment « poé
169
se cette Séparation, notre péché, contre laquelle
toute
l’œuvre de Claudel se soulève à l’appel de la Joie. Le monde qu’inter
170
mes. C’est un monde en recréation perpétuelle, et
tout
s’y tient parce que chaque être y agit pour tout ce qu’il n’est pas.
171
haque être y agit pour tout ce qu’il n’est pas. «
Tout
cherche partout sa fin, complément ou efférence, sa part dans la comp
172
l geste, de réunir, de relancer vers sa vraie fin
tout
ce qu’une durée mauvaise a disjoint et altéré. « Car l’attente ardent
173
aiter chaque mot selon la chose qu’il re-présente
tout
d’abord, rendre un corps et refaire des racines matérielles aux dériv
174
son action recréatrice, une étymologie vivante de
tout
ce qui est. Et maintenant, pour se connaître, il lui suffit d’agir sa
175
dans le train de la création, reformer sans cesse
toutes
les formes selon l’intention qu’elles expriment, c’est proprement pen
176
t de refaire le monde — tel que Dieu l’a connu de
toute
éternité ! 40. En effet, la citation du Cratyle qu’il donne dans l’
177
etc. Parce que « rien ne s’achève sur soi seul »
tout
porte à conséquence, tout appelle, et d’abord la parole ! Mais l’usur
178
s’achève sur soi seul » tout porte à conséquence,
tout
appelle, et d’abord la parole ! Mais l’usure des mots les édente, not
179
il y aurait encore moitié à gagner en finance et
tout
en population, car, pour son argent, on aurait un homme nouveau, au l
180
, le voilà repris et galvaudé depuis deux ans par
toutes
les ligues et partis, de La Rocque à Vaillant-Couturier ! (Je ne sais
181
e force spirituelle ». Et aussi « qu’au-dessus de
tout
, les communistes placent l’homme ». Et enfin que « c’est à l’Esprit q
182
ier peut y contribuer largement. Faut-il dire que
tout
usager de la culture, si apolitique qu’il se veuille, se trouve intér
183
art sans me créer des possessions, appelant ainsi
toute
chose que je sais mettre en œuvre à ma façon, et peu capable de compr
184
t de cette chose-là. C’est donc un acte et pas du
tout
un droit. Et ce n’est pas une sécurité, ni rien qui dure au-delà du t
185
ir « hériter » des biens de leurs pères ? Il faut
tout
ignorer de la vraie possession ! Une chose n’est mienne que pour un t
186
trois grands mots ! et pourtant c’est bien cela —
tout
au bout d’un pays dénué de ressources, pratiquement analogue, j’imagi
187
es, locales, qui ont fortement exagéré et embelli
tout
cela… La science réclame de petits faits vrais. Elle tend aussi, il f
188
second bouquin, c’est l’œuvre d’un vieux médecin
tout
plein de verve et de gaillarde érudition, comme il s’en trouve un peu
189
ut pour sauver « l’esprit » d’un pays. J’ai passé
tout
l’après-midi dessus. — Cela commence par une chronique historique don
190
e bienfaisance fondées par le docteur lui-même ou
tout
au moins à son instigation. Enfin, et cela nous sera des plus utiles,
191
à tour, jusqu’à la synthèse finale d’une envolée
tout
à la fois patriotique, républicaine, et tolérante. La droite, la gauc
192
jardin. Passée la porte, on enfile une petite rue
toute
blanche qui contourne la panse de l’église et aboutit à la place prin
193
plaire dans sa symétrie architecturale. Il domine
toutes
les maisons et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je voudrais
194
ans le style romantique, avec tous ses détails et
toute
son opulence, frisé comme une perruque du grand siècle. De trois côté
195
arisien » qui manifeste l’intention de rester ici
tout
l’hiver ? C’est plutôt en été qu’on vient chez nous, me fait-elle pru
196
e avec vivacité que ça ne peut pas aller. Il faut
tout
recommencer. Finalement l’on décide d’envoyer le manuscrit comme écha
197
ment, trouver une formule d’apaisement qui ménage
toutes
les susceptibilités, et finalement ne rien payer de plus. Je cause un
198
ment. Salaire : 280 francs par mois « en comptant
tout
». Sa femme fait des lessives. En été ils pêchent des palourdes et le
199
ménage, manger et boire, 480 francs ; (en général
tout
est plus cher qu’à Paris). Recettes : 80 francs pour quelques notes p
200
xceptions, des cas sans précédent, et des raisons
toutes
personnelles de ne pas appeler au secours. Pourtant je suis bien tran
201
el, et les moyens de s’y réduire, voilà le but de
toute
morale car le « bien penser » en dépend. 2 décembre Questions. — E
202
ce de vice ? Est-ce que ce n’est pas la racine de
tout
l’idéalisme dont les modernes doivent se guérir, s’ils veulent enfin
203
s sortons pour une promenade et que nous mesurons
toute
l’étroitesse de notre domaine, la mer partout à dix minutes et ces ma
204
pour aller se mêler aux « autres », à l’étranger…
Tout
ici me ramène à moi seul. J’ai beau faire, je ne parviens pas à parta
205
ieurs fois nous voir. Hier, elle m’a demandé avec
toutes
sortes de précautions oratoires embrouillées si son fils pourrait ven
206
elque chose. Quand je vais chez les Renaud, c’est
tout
le contraire. Ils m’expliquent en détail ce qu’ils font, et je puis l
207
il aux champs ou à la côte, et je les écoute avec
toute
l’attention d’un apprenti ; de leurs souvenirs, parfois touchants, pa
208
bibles de porte en porte. On ne peut pas dire que
tout
ce travail épuisant dans l’inertie soit resté absolument vain : il y
209
vain : il y a eu quelques conversions. Mais c’est
tout
juste si elles ont compensé les abandons ou les départs. (Les protest
210
sa mission. Ils ne veulent pas même l’écouter, et
toute
sa raison d’être est cependant de leur parler. Il n’a rien d’autre à
211
ée, ma vie, et de se retrouver neuf, enfantin, ou
tout
simplement jeune devant un présent ouvert de tous côtés… Une seule ve
212
ts chocs irréguliers des pioches et des bouelles,
tout
ce qu’il y a de paisible, de grand, de mesquin, de millénaire dans ce
213
c’est aussi pour gagner ma mort, je le sais bien.
Toute
notre attente imagine l’avenir — et l’imagine nécessairement sur fond
214
à l’immédiat, et borné son attente au salaire. Or
toute
vie est absurde et violemment inacceptable, qui ne s’ouvre pas sur l’
215
ésolution des dissonances en un accord qui comble
toute
attente.) 7 avril Recette pour vivre de peu. La première condition
216
une pile de notes. La page est restée blanche. Et
toute
réflexion faite, c’est bien ainsi, et très complet.) 10 avril Je n’
217
ncret. Je me dis que cette impression et celle de
tout
à l’heure s’excluent en fait. Mais je n’arrive plus du tout à retrouv
218
eure s’excluent en fait. Mais je n’arrive plus du
tout
à retrouver ce sentiment d’absurdité que provoquait en moi, préciséme
219
d. La culture m’a repris. Je suis dans le faux et
tout
y est correct : je dis que la thèse que je défends est vraie !… Il y
220
rrêter de penser, si l’on pouvait. Le principe de
toute
culture véritable n’est-il pas cette commune mesure, sinon de raisons
221
irs se révèlent au-delà de la plage, nouveau pays
tout
grouillant de merveilles, d’eaux ruisselantes et de vies monstrueuses
222
On ramène un paquet de varech, un ou deux crabes
tout
terreux, et parfois en se penchant sur la treille, on voit bondir d’u
223
longues antennes grenat. — On cuit les crevettes
toutes
vivantes, en les jetant dans de l’eau qui bout. Après des soubresauts
224
ssage où l’Apôtre nous fait entendre ce soupir de
toute
la Création vers la révélation des « enfants de lumière », et la rest
225
mme : pillage, ruses, destruction, dévoration, le
tout
accompagné de sentiments « humains », admiration, répulsion, pitié, e
226
s », admiration, répulsion, pitié, etc. En somme,
tout
se borne à une certaine « sympathie » (souffrir avec) que l’homme épr
227
cosmique blessée. Comme une prière muette en moi,
toute
machinale et tout obscure. 24 mai On dirait que l’homme n’est pas f
228
omme une prière muette en moi, toute machinale et
tout
obscure. 24 mai On dirait que l’homme n’est pas fait pour durer : l
229
n œuf à demi ouvert d’où sort un long cou maigre,
tout
humide. Un poulet gris, déjà séché, palpite au milieu des autres œufs
230
ignant qu’elle n’écrase ses petits : elle arrange
tout
sous elle : pattes, œufs, poulets, en quelques mouvements, ramène deu
231
olue sagesse à l’œuvre dans cette vie. Il y a sur
toute
la terre de ces moments de pureté. Il faut penser à eux quand on juge
232
hèque. C’est un prix. Un prix dont je connaissais
tout
juste le nom. Que je n’aurais jamais eu l’idée de solliciter. Et qui
233
que ce soit une feinte, bien entendu, cela ferait
tout
rater ; il faut un véritable non-espoir). Équivalent, pour la façon d
234
it devoir s’excuser de m’avoir fait passer à côté
tout
à l’heure. « Vous savez, c’est la coutume, ici ils n’aiment pas qu’il
235
n’auraient pas idée de ça, au contraire, ils sont
tout
fiers de venir à la banque. Ici, on a dû faire cette salle d’attente…
236
gérant, ce n’est pas seulement la crainte, après
tout
légitime, qu’on sache combien ils ont « mis de côté », qui peut expli
237
t admettre que pour eux, une pudeur, ou une honte
tout
à fait particulière s’attache au commerce de l’argent. 20 juin Les
238
ses pour la première fois mesquines… 10 juillet
Tout
est bouclé, ficelé, cloué. Il me reste à peu près deux heures, avant
239
s invoquent avec un accent triste. Je suis devenu
tout
doucement amoureux de ma vie, et je crois bien que c’est un penchant
240
ile ni de raisonnable. Voici l’histoire, traduite
tout
entière pour la première fois en France47. Six-cents belles pages aux
241
marges, papier moelleux, caractères magnifiques,
tout
cela digne du chef-d’œuvre épique de la littérature moderne. Kipling
242
e la vie s’y prend, fait sauter le cadre, envahit
tout
à grands bonds émouvants, et l’auteur s’esquive prestement avec une b
243
a lumière fantastique de la Promesse, au point où
tout
se renverse, où le ciel s’ouvre sur le châtiment, où le démon découvr
244
us profondément moderne que cette légende, malgré
toutes
ses romances et ses idylles d’une pureté dramatique. Les forges, les
245
erai, le trafic des chalands, l’économie agraire,
tout
cela ne joue pas un moindre rôle que la nature, les ours et les troll
246
éalisme socialiste, c’est la réalité sociale plus
toutes
les autres. Et l’amour d’une femme pour son peuple, au lieu de ces va
247
dont le génie ait eu la force de recréer un pays
tout
entier, avec ses classes et ses institutions, ses armes, ses charrues
248
ux luttes sociales et politiques où leur raison a
tout
à perdre mais que s’ils s’y trouvent mêlés, comme il arrive parfois a
249
ile, qui n’oserait s’exercer que sur du rationnel
tout
fait. S’il y a quelque part du rationnel (que ce soit dans le monde o
250
ertitude, angoissante, que cette guerre « se fait
toute
seule », que rien ne dépend plus de personnes responsables, mais que
251
l’homme. D’ailleurs on peut aussi ne rien voir de
tout
cela dans le livre de Kuncz : il nous apporte un document bien assez
252
ique de cette méditation personnaliste. Car après
tout
, c’est une histoire, un des meilleurs romans de l’année, et qui se fa
253
espoir que les accords Matignon trompèrent. C’est
tout
ce que l’Histoire retiendra. Ce fait initial a déterminé la courbe de
254
de la raison avertie, donc impure. Elle opère en
toute
liberté sur un nombre restreint de données qu’elle considère dans l’a
255
plus petit que » —, qui est aussi le fondement de
toute
mathématique. Ces remarques peuvent nous orienter vers une compréhens
256
es logiques ont une double détente par calembour.
Tout
cela est assez bien symbolisé par la déclaration de la Tortue à Tête
257
l’État et de la Nation) s’opposait dans le fait à
toute
application honnête des deux principes. D’une part la SDN ne fut pas
258
s », une rodomontade gratuite, puisqu’en principe
tout
était résolu. Seul, le Premier ministre anglais sut voir et dire qu’i
259
s et instinctives de l’Occident : la résistance à
toute
hégémonie, au nom d’un idéal latent de fédération des peuples sur pie
260
l préfigurant ainsi un statut fédéral exclusif de
toute
hégémonie. 6. À qui profitèrent les accords de Munich ? — Cette victo
261
anticléricalisme, car « devant le regard positif,
toute
religion finit par être vraie », et même « l’obligation de croire ne
262
encez par croire, vous finirez par penser)… Comme
toute
sagesse qui se respecte, celle d’Alain ne peut pas tenir compte des d
263
e bonne part de la théologie, surtout catholique.
Tout
cela, je le crains, relève d’un malentendu, courant sur le sens du mo
264
rkegaard, par exemple, rejette au nom de sa foi :
tout
ce qui n’est que sociologie. (Je ne dis pas que ce soit négligeable.)
265
manisme et la foi, le scandale au sens paulinien,
tout
ce que le sage jugera toujours « hors de propos » d’envisager. Le sér
266
ais quoi ? Faut-il aller si haut ? La recherche «
toute
naturelle » de l’intensité du désir ne peut-elle expliquer à elle seu
267
ui qui cède à cet attrait superficiel que presque
toutes
les jolies femmes peuvent exercer sur presque tous les hommes, n’évoq
268
Et pourquoi désire-t-on du nouveau, du nouveau à
tout
prix, quel qu’il soit ? Celui qui cherche, c’est qu’il n’a pas ; mais
269
aimions le croire, une exultation de l’instinct,
tout
porte à supposer que cette passion n’est pas toujours liée au sexe. E
270
de l’absurde. Ah ! comme on se lasse de gagner à
tout
coup, pour peu qu’on ait l’envie de nier des règles que personne n’os
271
vertu dont on ne sait plus quelle est la fin ? Et
toutes
ces vérités qu’ils respectaient, voyez comme elles ont vite cédé ! Il
272
ioler le secret ; et leur défaite rapide les rend
toutes
méprisables après la première possession. Pourquoi s’attarderait-il ?
273
nt trahi leur commune vulgarité, le triomphe perd
toute
saveur. Il faut détruire maintenant les valeurs neuves qu’on avait in
274
faut rejeter avec dégoût ce que l’on désirait de
toute
sa fougue ; et se rire des suiveurs, des successeurs, de ces disciple
275
i ne se rendrait point, mais qui le posséderait à
tout
jamais, digne enfin de sa vraie passion ! Il traque sans relâche tout
276
nfin de sa vraie passion ! Il traque sans relâche
tout
ce qui bouge, tout ce qui s’arrête, tout ce qui fait mine de résister
277
ssion ! Il traque sans relâche tout ce qui bouge,
tout
ce qui s’arrête, tout ce qui fait mine de résister. Voluptés brèves —
278
relâche tout ce qui bouge, tout ce qui s’arrête,
tout
ce qui fait mine de résister. Voluptés brèves — le temps d’un aphoris
279
rte ! Revivra-t-elle ? Car si ce Dieu est mort à
tout
jamais, il n’y a plus d’amour possible. Il faut inventer un amour qui
280
t inventer un amour qui permette au moins de haïr
tout
ce qui passe, tout ce qui cède, toute l’impudeur et la lourdeur du mo
281
qui permette au moins de haïr tout ce qui passe,
tout
ce qui cède, toute l’impudeur et la lourdeur du monde. C’est au point
282
oins de haïr tout ce qui passe, tout ce qui cède,
toute
l’impudeur et la lourdeur du monde. C’est au point de fureur dionysia
283
pour la première fois baisser la tête et adorer.
Tout
reviendra éternellement à cette minute, à cet instant ! L’Éternité, c
284
existe plus. Par-delà le bien et le mal, par-delà
toutes
les règles du jeu, il faut qu’une passion se révèle ; ou la mort, ou
285
t-être la clé du mystère : c’est qu’en respectant
toutes
les règles, nous ne pourrons jamais que perdre. Alors : ou bien nous
286
uels, ni patinés par nos lectures. Les voici avec
toutes
leurs barbes et verrues, incongrus et antédiluviens, marée grouillant
287
l ne comble les amateurs de beaux poèmes oubliés.
Toutes
ces tentatives constituent, pour reprendre une heureuse expression de
288
on position devant un homme qui récuse sans cesse
tout
parti pris, et d’abord, quant à soi ? On renonce aisément à le fixer
289
errière les formes et au-dessous d’elles, dans le
tout
venant de confidences fragmentaires, une vérité que les œuvres concer
290
malgré la perfection constante de l’écriture, et
toutes
ces aquarelles et ces tableaux de genre où s’amuse et s’attarde la ma
291
déconcerter ses juges, qu’il leur rend par avance
toutes
ses armes ? Mais ce serait un mauvais calcul. Aux yeux d’un lecteur p
292
trompeuses stylisations des morales et jugements
tout
faits n’est plus seulement émouvant : il revêt la valeur d’une expéri
293
elle nous rend attentifs aux défauts réguliers de
tout
autoportrait. C’est nous donner le moyen d’y porter nos retouches. ⁂
294
, par contre, à négliger, de peur de se surfaire,
tout
ce qui peut entrer en jeu de bonté naturelle ou de sociabilité, dison
295
ssemblant. On l’y retrouve aussi au naturel, avec
toutes
ses curiosités, son admirable modestie et ses malices, son sens rythm
296
uotidiennes, fussent-elles non conformistes. Mais
toute
morale a bientôt fait de se muer à son tour en dogme, et la morale pr
297
e, et subissant seulement la coutume d’un milieu.
Tout
à fait justifiée en soi, cette réaction gauchit parfois certains juge
298
Gide ait été de débarrasser son christianisme de
toutes
les adjonctions « humaines — trop humaines » du moralisme néo-protest
299
ale des tours de passe-passe religieux. En somme,
tout
son effort consiste à se délivrer de cela même que certains chrétiens
300
uis ni protestant ni catholique, je suis chrétien
tout
simplement. » Position caractéristique du protestantisme libéral tel
301
» Mais n’y a-t-il pas, à l’origine de ce refus de
toute
église (tant reformée que catholique), un attachement à sa vérité pro
302
ut attentif à sa nature complexe et réticente. Or
toute
nature, irrémédiablement, s’éprouve complexe et réticente. Et l’acte
303
rance surtout, et même chez certains protestants.
Tout
ce que je me sens le droit de dire ici, c’est que la Réforme a rejeté
304
sion provisoire, paradoxale peut-être, mais somme
toute
, assez gidienne encore. Elle n’exclut aucun revirement dans les génér
305
t simplifié, cet œil halluciné par le réel, c’est
tout
l’art de Ramuz exposé. Ici, tout le mystère se mue en forme et en phy
306
r le réel, c’est tout l’art de Ramuz exposé. Ici,
tout
le mystère se mue en forme et en physionomie lisible. Enfin, l’on est
307
Un complot de protestants (novembre 1951)at
Tout
compte fait, nous nous connaissions peu, ce jour de juin 39 où dans l
308
anc du boulevard Saint-Germain. Les autos passent
tout
près. Je l’entends dire, dans le bruit : « Où habitez-vous maintenant
309
eux mains, se balance en regardant nos valises. «
Tout
cela s’est arrangé si soudainement, dit-il, c’est inquiétant. Cela me
310
assé par les débats d’idées, il semble répugner à
toute
pensée qui par le style d’abord ne l’ait séduit. Il me parle souvent
311
i pour quelque chose de morbide. “Cela recommence
tout
le temps !” disaient-elles ». Il hoche la tête, trouve cela très curi
312
t insister sur les suppressions qu’il y a faites.
Tout
ce qui concerne intimement sa femme — « le seul être, dit-il, que j’a
313
éussit à remplacer le tragique par la perplexité.
Tout
cela peut éclairer son attitude envers le christianisme et son mystèr
314
mystique, ni mystère ? Ne serait-il pas un homme
tout
à fait plat, réduit à quelques partis pris éthiques ? Ce débat nous é
315
l’homme existe depuis environ cent-mille ans. Aux
toutes
dernières nouvelles — qui dira mieux ? — c’est au moins six-cent-mill
316
entaux avant qu’ils aient subi notre influence55.
Toute
réflexion sur l’Aventure occidentale se doit d’affronter ce contraste
317
t d’essayer de l’interpréter. Et, en particulier,
toute
théorie de l’Histoire qui négligerait d’en rendre compte ou s’en révé
318
l’éprouveraient, au sens de la personne ? Presque
toutes
les cultures et civilisations que nous avons exhumées du passé de la
319
le ont enseigné des théories du temps, et presque
toutes
décrivent un temps cyclique. Elles croient aussi à la métempsycose, à
320
à la métempsycose, à l’astrologie et aux castes.
Tout
cela se tient et se relie, tout cela est « religion » au sens premier
321
ie et aux castes. Tout cela se tient et se relie,
tout
cela est « religion » au sens premier du terme56 — et ne laisse aucun
322
’Israël. Et, certes, l’Évangile ignore absolument
toute
espèce de doctrine de l’Histoire : il annonce la Résurrection, qui es
323
et du vertige de la métempsycose, qui réduisaient
toute
vie dans le temps et la chair à l’insignifiance anonyme d’un passage
324
xceptionnel d’accepter le temps et l’Histoire. Si
toutes
les religions traditionnelles ont développé des mythes du temps cycli
325
versel du temps cyclique et du retour sans fin de
toutes
les situations dévalorise le temps vécu de la souffrance. Ce n’est pl
326
« une fois pour toutes » — voici ruiné d’un coup
tout
l’édifice mythique des protections de l’âme contre le temps de l’Hist
327
effectif que pour celui qui croit « que Dieu peut
tout
à tout instant », ainsi que l’écrit Kierkegaard. Or la foi n’est jama
328
f que pour celui qui croit « que Dieu peut tout à
tout
instant », ainsi que l’écrit Kierkegaard. Or la foi n’est jamais parf
329
a parfaite humanité : c’est l’intention commune à
toutes
les hérésies gnostiques, manichéennes ou docétistes. Plus tard, au Mo
330
peu lues en ce temps, attestent l’historicité57.
Tout
ceci nous confirme dans la vue que le Moyen Âge, loin de représenter
331
encore neuf. 4. Être ou non dans l’Histoire
Tout
d’un coup (dans l’espace d’une quarantaine d’années) il se révèle que
332
ns », qu’on pourrait aussi bien ignorer. Elle est
tout
autre chose : le devenir présent. Elle est plus vraie que nous, qui n
333
implement une manière de le penser qui le ferme à
toute
transcendance, et qui du même coup nous enferme et nous interdit tout
334
et qui du même coup nous enferme et nous interdit
tout
recours ? « Au monde comme n’étant pas du monde », disait saint Paul.
335
nt Paul. Mais l’Histoire absolue veut que l’homme
tout
entier soit uniquement du monde : elle le coupe de l’esprit. Ce faisa
336
anscendant, on évacue du même mouvement désespéré
toute
justification de l’action personnelle. Rien d’étonnant si l’homme, dè
337
-elle simplement l’esprit « plus historique » que
toutes
les précédentes ? Oui, s’il s’agit du goût de connaître le passé, plu
338
» de laquelle on nous dit qu’il faut « être » de
toute
nécessité, sous peine de n’être pas. Celle-ci marque un recul devant
339
au xxe siècle ils se dilatent soudain au-delà de
tout
ce que notre esprit peut se figurer, l’idée d’évolution balaie nos re
340
démissionne. Que l’Histoire décide à ma place, de
toute
façon je n’y puis rien. Que le dictateur ou le Parti décrètent le vra
341
ou le Parti décrètent le vrai sens de ma vie, de
toute
façon je ne pourrais plus le distinguer. Je ne suis plus responsable,
342
qui désespère de ses pouvoirs d’innovation et de
toute
espèce de recours au transcendant libérateur. Engendrer l’utopie est
343
s le nom de « tradition ». 58. Il faut alors, de
toute
nécessité, que le succès temporel prenne la place du salut et qu’il t
344
jours trop pauvres, ou de ces plans qui prévoient
tout
sauf l’essentiel humain, parce qu’on les a conçus non comme des direc
345
e humaine ou du vrai moi, reprise et précisée par
toutes
les grandes époques de la théologie et de la philosophie, et toujours
346
rai moi c’est « l’âme », mais il s’agit d’une âme
tout
intellectuelle, dont « la nature n’est que de penser » et qui reste e
347
confond sans l’ombre d’un scrupule la personne et
tout
ce qu’elle n’est pas — l’individu, la persona, la « forte individuali
348
nature ou affinité, il y a un être spirituel qui
tout
au long de leur existence assume envers cette âme ou ce groupe d’âmes
349
paysage nimbé de la Lumière-de-Gloire restituant
toutes
choses et tous les êtres dans leur pureté paradisiaque, « dans un déc
350
e pas d’abord ce qu’est l’homme, mais qui es-tu ?
Toute
réalité dernière est personnelle. Le vrai moi est ailleurs, mais son
351
cca Sabbe sankhara dukkha Sabbe dhamma anatta (
Toutes
choses composées sont transitoires Toutes choses composées sont souff
352
tta (Toutes choses composées sont transitoires
Toutes
choses composées sont souffrantes Toutes les choses sont sans moi.68)
353
sitoires Toutes choses composées sont souffrantes
Toutes
les choses sont sans moi.68) Si D. T. Suzuki peut écrire après cela
354
ase pure et simple : faire face au fait, signe du
Tout
, et donc du Vide. Leur satori est le contraire du samadhi : c’est un
355
s personnel et se joue à travers notre moi. Ainsi
tout
l’Orient des doctrines, — et en même temps l’Orient des peuples et sa
356
ration… Mais voici le moment d’ajuster la vision.
Tout
l’Orient exagère ses formules. Il dit cent-mille-millions pour dire b
357
grandes chances de les trouver. Dans ce domaine,
toute
différence reconnue peut être vérifiée par l’expérience intime, et pr
358
et le Mal comme deux principes préexistants ; ni
tout
à fait des « deux hommes en moi » dont la lutte fait gémir saint Paul
359
tte fait gémir saint Paul ; mais, préalablement à
tout
jugement moral, il s’agit de la reconnaissance d’une bipolarité, d’un
360
et le vrai moi. Le second commandement qui résume
toute
la Loi et les Prophètes : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même »,
361
quand l’esprit lui demandait seulement d’ordonner
tout
le moi terrestre et temporel à la vocation de l’amour. Mais celui qui
362
par l’esprit — comme l’a si bien vu Kierkegaard.
Tout
amour véritable procède du vrai moi et se dirige vers le vrai moi de
363
s de l’esprit l’indispensable tissu conjonctif de
toutes
les sociétés qui ne sont pas un ordre.) L’école iranienne Il n’
364
prière et de glorification qui lui est propre. »
Toute
personne s’origine en Dieu, qui l’a créée afin d’être connu par elle
365
a propre connaissance.75 » C’est donc en Dieu que
tout
amour peut reconnaître la personne de l’autre et l’aimer « comme soi-
366
divin, cette théophanie que l’âme peut aimer dans
toutes
les dimensions de l’amour unifié. L’Aimé n’est plus alors un simple o
367
, en l’adossant à une lumière qui en fasse éclore
toutes
les virtualités surhumaines, jusqu’à l’investir de la fonction théoph
368
ierkegaard79, mais aussi selon Swedenborg : Comme
tout
bien procède du Seigneur, le Seigneur est, dans le sens suprême et au
369
ochain ; c’est donc d’après lui que s’établissent
toutes
les distinctions relatives au prochain, c’est-à-dire que chacun est l
370
ain selon la qualité de son amour.80 En dépit de
tout
ce qui distingue la transparence (parfois trompeuse) du latin de l’in
371
mbien plus vivement l’unité première et finale de
tout
amour ! Peut-être aussi nous fera-t-elle entrevoir comment le mythe d
372
urrait en pressentir l’ultime secret. (Ici, donc,
toute
morale commune ou rationnelle, non strictement personnaliste, ne peut
373
ersonne ou la survolent, ne connaissent que l’ego
tout
transitoire et le Soi tout impersonnel : « Il n’est qu’un Soi pour to
374
connaissent que l’ego tout transitoire et le Soi
tout
impersonnel : « Il n’est qu’un Soi pour tous les êtres.82 » L’individ
375
réels, ces problèmes ne sauraient avoir lieu. (Ou
tout
au moins, pris au sérieux.) L’amour même est évacué. Il n’est plus qu
376
nature de l’ultime réalité qu’après avoir détruit
tout
attachement inné ou acquis, pour ses semblables…84 » Et le Bouddha lu
377
matrimonial. Mais on me dira que l’Asie n’est pas
toute
spirituelle, et que la vie ne s’en tient pas aux textes. On ajoutera
378
s, par le régime des castes et la condamnation de
toute
curiosité du monde) ; d’autre part, en tant que doctrines, elles prop
379
relations humaines et prennent à partie, un à un,
tout
individu tel qu’il est, décidées à le transformer en vérité85. Elles
380
le de l’érotisme. Le shivaïsme explique le cosmos
tout
entier en termes de sexualité : il pose le désir à la base de tout. N
381
rmes de sexualité : il pose le désir à la base de
tout
. Nous ne désirons des choses que dans la mesure où elles nous procure
382
ir sa propre nature essentielle, qui est la joie.
Toute
jouissance, tout plaisir est une expérience du divin… Mais l’amour pa
383
e essentielle, qui est la joie. Toute jouissance,
tout
plaisir est une expérience du divin… Mais l’amour parfait est celui d
384
’est pas victime du désir.88 » Ce « détachement »
tout
accueillant, cette approbation du plaisir comme expérience du divin,
385
rame, encore moins de tragique, et surtout pas de
tout
ou rien, mais d’innombrables variétés dans l’approche de l’ultime réa
386
le reste invécue, comme les Vedas non récités, ou
toute
action non accomplie. (Brihad-âranyaka Up.) La notion de l’amour du p
387
dit Shantideva. Et Suzuki, qui enseigna le zen à
toutes
les Amériques dégoûtées de l’Occident, et de plus en plus à l’Europe,
388
te à transformer Éros en Agapè »90. Je répète que
tout
cela n’est pas contradictoire, dans une philosophie sans dogmatique.
389
iment d’une immédiate et vive reconnaissance. Car
toute
vérité sur l’amour est immédiatement reconnue par celui qui s’est mis
390
rtir d’expériences re-connues, on pourrait écrire
tout
un livre. (Mais si c’était celui que je suis en train d’écrire ? Et q
391
est discerner dans l’autre — pour l’avoir reconnu
tout
d’abord en soi-même — le vrai moi, sujet de l’amour, et l’aider à pre
392
llusion, qu’ils l’ont mise en facteur commun dans
tout
ce qui existe ; (à tel point que le seul fait d’exister devient pour
393
à nos « agrégats » individuels : le cosmos actuel
tout
entier semble résulter — selon leurs sages — d’une gigantesque schizo
394
phrénie du Soi. (Mais il sera finalement résorbé,
tout
s’arrangera.) Ils en ont fait autant pour les personnes, potentialisé
395
u es Cela ». Le drame individuel est noyé dans le
Tout
. Mais le Tout est le contraire du drame. Tous les risques d’erreur so
396
e drame individuel est noyé dans le Tout. Mais le
Tout
est le contraire du drame. Tous les risques d’erreur sont liés à notr
397
ue tu vois et portes ton amour à l’immuable seul,
toutes
ces erreurs que tu craignais sont illusoires. Comme le moi. — La vue
398
ra plus elle, et les dieux mêmes me serviront.
Tout
et tous L’Orient voudrait exténuer, « émacier le réel tangible »93
399
fice et fait leur temps, il y aura le Soi seul en
tout
. À la consommation des temps, répond saint Paul, « Dieu sera tout en
400
mmation des temps, répond saint Paul, « Dieu sera
tout
en tous ». Depuis six millénaires, les sages de l’Asie n’ont pas vari
401
hrase de saint Paul au début de notre ère, « Dieu
tout
en tous », d’un seul trait fulgurant décrit cette fin. Dès lors, au d
402
la matière que nous cherchons le Soi. La création
tout
entière, « soumise à la vanité » mais travaillée par « un ardent dési
403
i de l’amour, de la connaissance par l’amour, car
tout
ce qui existe est unique, à voir de près, comme voit l’amour. 60.
404
lui. J’ai en moi une foule d’âmes turbulentes. Et
tout
se passe comme dans une république. » À regarder ainsi le moi, on le
405
. 84. Chang Chen-Chi, The Practice of zen. 85.
Tout
cela vaut pour l’islam, bien entendu, au moins autant que pour le chr
406
le christianisme et le judaïsme. « Dans l’Arabe,
tout
est colère », écrit Henri Michaux. « Son bonjour : “Que le salut soit