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z Ramuz. Mais purifiés de toute brutalité, de ces
traits
forcenés, de ces ricanements d’intellectuels mal guéris. Certes Ramuz
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, au-delà de l’insolence et de la révolte ; et ce
trait
profond de son art m’en convainc : le sens de la vénération, qui est
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uloureuse que le signe en devient visible sur ses
traits
. Je ne me lasse pas de méditer ce visage dont Klauer modela l’effigie
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ui-même ses effets en terminant la plupart de ses
traits
sur quelques notes ironiques, destinées peut-être à indiquer qu’il n’
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rvu de pittoresque, c’est-à-dire, dans ce cas, de
traits
humains révélateurs, ce qui est tout de même aller un peu loin, puisq
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her le lait, mais vous êtes blême et fatigué. Un
trait
qui manque par hasard dans cette page, et qu’on retrouve dans toutes
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ut de notre ère, « Dieu tout en tous », d’un seul
trait
fulgurant décrit cette fin. Dès lors, au duel de l’Un et du Multiple